Dans ce territoire brut et sauvage, royaume de l’ours polaire, vous vivrez une immersion totale entre banquise, glaciers monumentaux, fjords silencieux et faune arctique. Loin des itinéraires figés, chaque jour sera une exploration guidée par les éléments, les rencontres et la lumière unique du soleil de minuit. Ce voyage est une invitation à ralentir, à observer, à ressentir… et à se reconnecter à soi-même, dans l’un des derniers grands espaces vierges de la planète.
Cette croisière est aussi l’occasion de découvrir le Raudfjord, ce "fjord rouge" qui doit son nom à la couleur du grès qui compose sa rive orientale. Ce fjord est le refuge de colonies de phoques, et ses falaises abritent de nombreuses espèces d’oiseaux. Le début de l’été arctique est la période idéale pour observer ces colonies. Le débarquement sur l’île du Prince Charles, nous permettra d’observer l’unique colonie de phoques communs du Spitzberg. Enfin, nous guetterons bien évidemment l’ours polaire, le seigneur des lieux, qui gagne les bordures de la banquise à la recherche de nourriture.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
Aucun niveau n’est requis, mais la navigation s’effectue sur une mer qui peut être agitée avec 1 à 2 nuits en pleine mer.
Engagement
Ce voyage ne présente pas d'engagement particulier. Les conditions du voyage sur les plans du confort, du rythme, de la technicité et de la nourriture sont idéales et à la portée de tous.
Vous atterrissez à Longyearbyen, dernière enclave avant l’inconnu. L’air est vif, la lumière irréelle. En fin de journée, vous embarquez à bord du Polaris, votre refuge pour les jours à venir. Le capitaine donne le cap : plein nord.
Ici, rien n’est figé. Chaque jour, le capitaine et les guides se concertent pour décider de la meilleure route à suivre, en fonction de la météo, de la banquise, de la faune, et de l’énergie du groupe. L’objectif : être au bon endroit, au bon moment, pour vivre pleinement l’instant.
Nous longeons la côte ouest du Spitzberg, jusqu’aux confins du nord, parfois jusqu’à l’est, là où la banquise dessine les limites du possible. Les navigations sont courtes, ponctuées d’escales choisies pour leur beauté brute ou les rencontres qu’elles promettent : baleines, phoques, ours polaires… Parfois, un souffle au loin ou une silhouette sur la glace rallonge notre route. Et c’est tant mieux.
Les nuits se passent au mouillage, au pied d’un glacier ou dans une baie abritée, sous la lumière irréelle du soleil de minuit. Parmi les lieux que nous pourrions explorer : Poolepynten, Trygghamna, la baie du Roi, le glacier du 14 Juillet, Lilliehöök, le fjord de la Madeleine, Alkefjellet, le Brasvellbreen… autant de noms qui résonnent comme des promesses d’aventure.
Chaque débarquement est une immersion : en zodiac ou à pied, pour approcher une colonie de morses, observer les oiseaux nicheurs, ou gravir un sommet pour embrasser l’horizon. Rien n’est imposé, tout est proposé. Et toujours, l’ours est là, en filigrane. Nous le cherchons, le guettons, le respectons. Lorsqu’il se montre, le temps suspend son vol.
Ce voyage n’est pas une croisière classique. C’est une expédition. Une aventure où l’on accepte de ne pas tout maîtriser, pour mieux accueillir l’inattendu dans l’immensité blanche.
Après plusieurs jours d’exploration au rythme de la banquise et des éléments, notre navigation s’achève là où tout a commencé : à Longyearbyen. Le débarquement marque la fin de cette aventure polaire, mais les émotions, les images et les rencontres resteront gravées bien au-delà du cercle arctique.
Le prix affiché sur notre site indique celui d'une place en cabine standard à usage double ou individuel.
Prix et dates par personne en port/port selon la catégorie de cabine choisie :
Cabine standard avec hublot à usage double ou individuel : 9 500 €
*A noter : Il n’est pas possible de partager sa cabine à bord avec un autre passager. Si vous voyagez seul(e), vous aurez une cabine seul(e) sans supplément, attribuée aléatoirement selon remplissage du navire (lit simple ou lit double, en fonction des réservations).
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
A l'origine, le Polaris 1 a été construit en 1973 pour le transport de munitions de la Royal Navy britannique. Il dispose ainsi d’une coque épaisse et d’une remarquable stabilité en mer et a été entièrement réaménagé en 2007 avec pour objectif de proposer des croisières originales, hors des sentiers battus, avec tout le confort et la sécurité d’une grande unité.
Le Polaris 1 est le seul navire français, dans ces contrées fabuleuses mais hostiles, à offrir un tel niveau de confort pour un nombre aussi restreint de passagers (cabines individuelles, salle de bain et wc dans chaque cabine, cuisine de qualité, cave à vins, salon panoramique, moyens de communication par satellite…).
Caractéristiques techniques
Longueur hors-tout : 34 mètres
Largeur : 8,5 mètres
Tirant d’eau max : 3,2 mètres
Déplacement : 210 t
Vitesse de croisière : 9 nœuds
Vitesse max. : 11 nœuds
Coque en acier : épaisseur 10 à 12 mm selon les parties
Moteur Principal : Lister Blackstone 8-cylinder turbocharged, 660 HP
Production électrique : 2 groupes électrogènes. Prises électriques 220V dans les cabines.
Les cabines
Il est possible d'accueillir jusqu’à 12 passagers dans 12 cabines tout confort, chacune avec vue sur mer et salle de bain/WC privée. Il y a 8 cabines équipées de lits doubles pour les couples (6 cabines avec hublot au pont inférieur d'une superficie de 11 à 12 m² et 2 cabines VIP avec fenêtre au pont principal d'une superficie de 13 m²) , et 4 cabines simples avec hublot (situées au pont inférieur, superficie de 7 m²). Chaque cabine dispose d’un sèche-cheveux.
Il est de plus possible de jumeler chaque cabine simple avec une cabine double, grâce à un système de cloisons amovibles, afin de créer des suites familiales ou des cabines plus vastes en fonction des besoins.
La vie à bord
Le Polaris dispose d’un large pont d’observation avant permettant de profiter du paysage ou d’effectuer des observations animalières tout en étant confortablement installé, et d’un libre accès à la passerelle de commandement.
Sur le pont principal, la salle à manger et le salon-bar sont panoramiques, ils permettant de profiter du paysage quelle que soit la météo.
Le navire est équipé de 2 bateaux pneumatiques pour les débarquements à terre, les excursions vers les fronts de glacier etc…
Pour plus d'informations sur le navire et le plan des ponts, consultez sur notre site l'onglet "Bateau".
Itinérant
de 0 à 4h d'activité par jour en moyenne avec un dénivelé moyen pouvant aller jusqu'à 300m
Bien choisir le niveau de votre voyage
De 1 à 12 participants
Le bateau se trouvera au port, à Bykaia, à quai ou au mouillage.
Pour des raisons d’organisation (préparation du bateau, avitaillements etc…), l'embarquement à bord se fait à partir de 18h30 seulement. Pour ceux qui arrivent avant 18h30, nous leur proposons de déposer leurs bagages à bord et d’aller faire une visite de la ville en attendant que le bateau soit prêt.
Dans ces régions polaires où les routes n’existent pas, la voie maritime est le meilleur moyen de découvrir des merveilles.
La petite taille du Polaris 1 nous permet d’accéder aux endroits les plus reculés, là où les paquebots ne peuvent se rendre et le nombre réduit de passagers est le meilleur atout pour découvrir le grand nord de façon personnalisée et conviviale, en se faufilant, sans jamais déranger la nature, pour réaliser d’extraordinaires observations animalières ou de fabuleuses randonnées en terrain vierge.
Gardez à l’esprit qu’une grande flexibilité est indispensable à la réussite de ce type de voyage. La nature nécessite que nous nous adaptions à elle et c’est pourquoi il n’existe pas de programme rigide jour par jour. Notre objectif principal est de vous faire découvrir ces lieux dans les meilleures conditions possibles, en prenant le temps d’observer.
Ce voyage se déroule à bord d'un bateau très confortable, néanmoins, une certaine adaptation est nécessaire lors des navigations, des débarquements et de la vie en espace réduit.
A l'origine, le Polaris 1 a été construit en 1973 pour le transport de munitions de la Royal Navy britannique. Il dispose ainsi d’une coque épaisse et d’une remarquable stabilité en mer et a été entièrement réaménagé en 2007 avec pour objectif de proposer des croisières originales, hors des sentiers battus, avec tout le confort et la sécurité d’une grande unité.
Le Polaris 1 est le seul navire français, dans ces contrées fabuleuses mais hostiles, à offrir un tel niveau de confort pour un nombre aussi restreint de passagers (cabines individuelles, salle de bain et wc dans chaque cabine, cuisine de qualité, cave à vins, salon panoramique, moyens de communication par satellite…).
Caractéristiques techniques
Longueur hors-tout : 34 mètres
Largeur : 8,5 mètres
Tirant d’eau max : 3,2 mètres
Déplacement : 210 t
Vitesse de croisière : 9 nœuds
Vitesse max. : 11 nœuds
Coque en acier : épaisseur 10 à 12 mm selon les parties
Moteur Principal : Lister Blackstone 8-cylinder turbocharged, 660 HP
Production électrique : 2 groupes électrogènes. Prises électriques 220V dans les cabines.
Les cabines
Il est possible d'accueillir jusqu’à 12 passagers dans 12 cabines tout confort, chacune avec vue sur mer et salle de bain/WC privée. Il y a 8 cabines équipées de lits doubles pour les couples (6 cabines avec hublot au pont inférieur d'une superficie de 11 à 12 m² et 2 cabines VIP avec fenêtre au pont principal d'une superficie de 13 m²) , et 4 cabines simples avec hublot (situées au pont inférieur, superficie de 7 m²). Chaque cabine dispose d’un sèche-cheveux.
Il est de plus possible de jumeler chaque cabine simple avec une cabine double, grâce à un système de cloisons amovibles, afin de créer des suites familiales ou des cabines plus vastes en fonction des besoins.
La vie à bord
Le Polaris dispose d’un large pont d’observation avant permettant de profiter du paysage ou d’effectuer des observations animalières tout en étant confortablement installé, et d’un libre accès à la passerelle de commandement.
Sur le pont principal, la salle à manger et le salon-bar sont panoramiques, ils permettant de profiter du paysage quelle que soit la météo.
Le navire est équipé de 2 bateaux pneumatiques pour les débarquements à terre, les excursions vers les fronts de glacier etc…
Pour plus d'informations sur le navire et le plan des ponts, consultez sur notre site l'onglet "Bateau".
Le débarquement à Longyearbyen est prévu à 9h00 le dernier jour. Prévoir une marge suffisante pour votre vol retour.
Pension complète à bord du bateau.
Si vous avez des intolérances/allergies alimentaires, merci de nous l’indiquer en avance pour prévoir des menus en conséquence.
Thés, café filtre et infusions sont disponibles à bord à toute heure et sans supplément, à l'exception des espressos et préparations type cappuccinos etc.
Les boissons alcoolisées ne sont pas incluses à bord, mais nous vous proposons un choix conséquent de vins, bières et alcools forts à des prix raisonnables (tarifs affichés à bord). Vous pouvez régler vos consommations au bar par CB ou cash en fin de séjour.
Encadrement francophone.
2 guides seront présents pour l'encadrement à bord, et proposeront plusieurs conférences sur les thèmes du voyage.
L’équipage du bord est constitué de professionnels de grande compétence : le commandant du navire est capitaine de première classe marine marchande, expérimenté et rompu à la navigation polaire ; il est assisté par un second capitaine, également diplômé de l’école nationale de marine marchande et d’un officier mécanicien.
Nous vous recommandons de voyager avec des bagages souples qui se rangent plus facilement dans les cabines. Ils doivent être clairement identifiés et porter l’étiquette fournie avec votre dossier voyage. Votre bagage en soute ne doit pas dépasser 23 kg. Nous insistons sur le fait qu'il s'agit d'un seul bagage enregistré. Vous êtes autorisé à prendre un bagage cabine de 8 kg maximum.
Prévoir de prendre avec vous, en bagage accompagné (dans l'avion) : vos médicaments, une polaire et une veste imperméable, dans le cas où ces bagages auraient du retard ou seraient égarés.
Les transferts à Oslo et à Longyearbyen ne sont pas inclus.
A Longyearbyen, compter 5 à 10 minutes de transport depuis l’aéroport vers le port de Bykaia. Le quai se trouve à 15 minutes de marche du centre-ville de Longyearbyen.
Une navette aéroport correspondant à toutes les arrivées et départs de vols est disponible à Longyearbyen, depuis et vers l’aéroport, les différents hôtels et centres d’intérêts. Le paiement s’effectue sur place en couronnes norvégiennes (NOK) ou par carte bancaire (les devises étrangères ne sont pas acceptées).
Prix par personne et par trajet pour la navette : 110 NOK soit 10€ environ.
Vous avez également la possibilité de prendre un taxi, comptez environ 150NOK à 200 NOK soit 15€ à 20€ environ par personne et par trajet.
A noter : Vous n'êtes pas autorisé à circuler à pied entre l'aéroport du Svalbard et le centre de Longyearbyen sans être accompagné par un guide armé (risque de présence d'ours).
Nous pouvons nous charger de la réservation du transport aérien. N'hésitez pas à nous contacter.
Pour les départs de province, prévoir des billets d'avion (ou de train) modifiables et avec une marge de temps suffisante pour parer à tout retard de vols intérieurs, des mauvaises conditions climatiques, grèves ou manifestations bloquant les routes. Les horaires de vols peuvent être modifiés par la compagnie aérienne sans préavis. Prévoir l'arrivée à l'aéroport au minimum 2 heures avant l'heure de décollage.
- Décalage horaire : Le Svalbard se trouve sur le fuseau horaire du reste de la Norvège, identique à celui de la France.
- Durée du vol : Environ 2h15 pour un Paris/Oslo et 3h pour un Oslo/Longyearbyen.
- Courant électrique : Le bateau est équipé de prises européennes (220 volts/50 Hertz).
A l’exception de Longyearbyen, le Spitzberg ne dispose pas de couverture GSM et vous
ne pourrez donc pas utiliser votre téléphone portable. Le bateau dispose d’une liaison iridium (satellitaire) accessible aux passagers. Téléphone satellitaire : facturation à la minute, 2 €/minute. Il n’est pas possible d’accéder à internet. Celui-ci est cependant disponible dans les hôtels et cafés de Longyearbyen ou Oslo, et la couverture GSM/4G est très bonne à Longyearbyen.
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs : 1 sac à dos et 1 grand sac de voyage souple (préférable à la valise rigide).
1 - Le sac à dos :
Sac à dos de randonnée d’une capacité de 25 litres environ, il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée.
Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires fragiles (appareil photo…), de valeur (lorsque votre hébergement ne dispose pas de coffre-fort) et pour vos éventuels médicaments.
Il sera en cabine lors des transports aériens. Généralement, le poids des bagages cabine est limité à 10 kg par personne.
2 - Le grand sac de voyage :
Il doit contenir le reste de vos affaires. Il sera en soute lors des transports aériens. Le poids des bagages en soute vous sera indiqué sur votre convocation ou billet.
Nos recommandations si vous prenez l’avion :
Enregistrez en bagage en soute le maximum de choses et ne conservez dans votre bagage à main que ce qui est absolument indispensable à votre voyage.
Equipez-vous pour l'avion de votre tenue de randonnée et prenez vos affaires de première nécessité (en cas de problème d'acheminement de vos bagages).
Merci de noter que les contrôles de sécurité sont devenus très stricts aux aéroports : mettez les couteaux, ciseaux, limes à ongles et piles de rechange dans votre sac de soute.
Quels sont les produits liquides interdits en cabine ?
Les liquides, aérosols, gels et substances pâteuses : eau minérale, parfums, boissons, lotions, crèmes, gels douche, shampoings, mascara, soupes, sirops, dentifrice, savons liquides, déodorants… sauf s’ils sont rangés dans un sac en plastique transparent fermé, d’un format d’environ 20 cm x 20 cm (type sachet de congélation) et qu’ils sont conditionnés dans des flacons ou tubes de 100ml maximum chacun. Un sachet peut contenir plusieurs tubes, flacons,…
Quelles sont les exceptions autorisées en cabine ?
- Les médicaments liquides (insuline, sirops…) : vous pouvez les emporter en cabine à condition de présenter aux agents de sûreté une attestation ou une ordonnance à votre nom. Il n’y a aucune restriction pour les médicaments solides (comprimés et gélules).
- Les aliments liquides pour bébés : il n’y a pas de restriction sur ces produits. Pensez à prendre des contenants qui se referment : il pourra en effet vous être demandé de goûter ces aliments !
Comment se fait le passage du contrôle de sûreté ?
- Retirez votre veste ou votre manteau.
Présentez à part :
- Tous les appareils électroniques
- Le sachet transparent contenant vos flacons et tubes de produits liquides
- Les médicaments accompagnés d’une ordonnance ou d’une attestation
- Les aliments liquides pour bébé
- Les achats réalisés dans les boutiques des aéroports doivent être mis sous sac plastique scellé mais toutes les boutiques ne proposent pas ce sac : renseignez-vous avant de faire vos achats.
- Les achats de liquides réalisés après le contrôle de sûreté s’effectuent librement sous réserve des limitations douanières ; attention cependant aux correspondances.
Le choix vestimentaire pour les climats froids demeure très personnel. Il dépend de votre adaptabilité et de votre sensibilité au froid. Pour votre confort et sécurité, évitez d’être mouillé (que ce soit par la transpiration, la pluie, des bottes inadaptées ou des embruns). Apportez des vêtements protégeant de l’eau et du vent. Evitez les vêtements trop serrés qui ne laissent plus de place pour l’air : l’air est un très bon isolant thermique. Les fibres synthétiques, telle que la fibre polaire retiennent mieux la chaleur que le coton. Pour la veste et le pantalon, le Gore-tex et les tissus similaires sont résistants à l’eau et respirants.
Le secret pour rester bien couvert est le "principe des 3 couches". Autrement dit, il vaut mieux porter plusieurs couches légères qu’une seule importante : vous pouvez enlever une de ces couches si vous avez trop chaud ou en remettre une si vous avez froid.
La couche la plus importante est l’externe, qui doit être résistante à l’eau et au vent car un petit vent de 6 km/h peut entraîner une déperdition de chaleur huit fois plus importante que sans vent. Un dicton habituel dans l’Arctique : "Il n’y a rien d’aussi mauvais que le mauvais temps, sauf d’être mal habillé".
Si le reste de votre corps est couvert, vous pouvez néanmoins perdre 90% de la chaleur par la tête. Assurez-vous de porter un bonnet, un passe-montagne ou une cagoule. Ils peuvent être abaissés afin de protéger vos oreilles, le front, le cou et le menton.
La chaleur corporelle est plus facilement perdue par les parties du corps qui ont beaucoup de surface mais peu de masse : les extrémités. Gardez-les au chaud et au sec.
Lorsque vous préparez votre sac, n’emportez pas trop de vêtements ou d’équipements. Sélectionnez ce qui est essentiel pour votre voyage :
1ère couche
- Sous-vêtements thermiques composés de préférence en laine mérinos et polypropylène (matières respirantes, qui gardent la chaleur), manches longues
2ème couche
- Une veste doudoune légère, vestes ou sweats en polaire sont idéals pour rester sur les ponts extérieurs du bateau ou pour les débarquements
- Pantalons chauds et confortables qui puisse être porté sous votre pantalon imperméable (type pantalon de randonnée, legging polaire ou collant thermique) pour les sorties en bateau pneumatique.
3ème couche (obligatoire pour les sorties en bateau pneumatique)
- Une veste imperméable munie d’une capuche (le Gore-tex résistant à l'eau et respirant est idéal)
- Un pantalon ou surpantalon imperméable, indispensable pour garder vos sous-couches au sec et au chaud, les débarquements à terre pouvant s'effectuer pieds dans l'eau.
- Moufles et gants. Garder ses mains au chaud et au sec est important. Des gants fins en polaire, en laine mérinos et polypropylène, ou des sous-gants en soie peuvent être portés sous des moufles. Vous pourrez ainsi retirer les moufles lorsque vous prenez des photos, et rester protégé du froid.
- Un bonnet chaud et un cache cou (nous déconseillons les écharpes pour des raisons de sécurité à bord des bateaux pneumatiques).
- Deux ou trois paires de chaussettes robustes en laine mérinos à porter sur une paire plus fine permettent l’isolation des pieds. Les chaussettes de ski techniques conviennent bien également.
- Une paire de bottes en néoprène antidérapantes (type Dock Boot ou Muck Boot, bottes de chasse ou de pêche) couvrant le mollet est essentielle pour les accostages : vous pouvez descendre du bateau pneumatique dans des endroits où il y a jusqu’à plusieurs centimètres d’eau glacée.
- Les chaussures de randonnée ou de marche ne sont pas indispensables pour les débarquements à terre. En effet, les bottes étanches sont suffisantes pour marcher sur ce type de terrain, et facilitent le nettoyage entre chaque sortie. Si vous souhaitez toutefois en apporter, optez pour des chaussures montantes, imperméables, légères, et adaptées aux terrains inégaux, rocailleux et/ou spongieux.
- Pour la vie à bord, il n'y a pas de dress code particulier, nous vous conseillons des tenues décontractées, et une paire de chaussures confortable pour les ponts extérieurs. Le carré et les cabines sont des espaces préservés, les chaussures y sont bannies. Pensez à vous munir de chaussons pour profiter pleinement de ces instants de détente.
- Il n’est pas nécessaire d’emporter sac de couchage et serviettes de toilette, toute la literie (couette) et le linge de bain sont fournis à bord.
Nous recommandons :
- Un sac à dos avec protection étanche de 20/25L pour les débarquements et/ou un sac étanche pour protéger vos appareils
- De bonnes jumelles pour observer la faune (type 8×32, 8x42 ou 10×42)
- Des lunettes de soleil (haute qualité), crème solaire et stick à lèvres (notez que la réverbération sur l’eau et la neige/glace peut pénétrer même si le ciel est couvert)
- Uniquement si vous en avez l’habitude, prenez vos bâtons télescopiques de marche (les embouts de protection sont recommandés pour préserver l’environnement fragile de la région), à enregistrer obligatoirement en soute (interdits en cabine)
- Des bouchons d’oreilles si vous êtes sensibles aux « petits bruits » la nuit
- 1 gourde
Conseils photographiques
On est très souvent étonné par le nombre de photos prises, prévoyez donc des cartes mémoires en conséquence ! Il faut savoir qu’avec le froid, les batteries se déchargent rapidement, prévoyez un jeu de batterie supplémentaire pour ne pas être bloqué en pleine action ! Quant aux embruns, ils endommagent beaucoup les appareils. Les drones ne sont pas autorisés.
Veillez à emmener tous vos médicaments car vous ne pourrez vous fournir à bord. Le bateau dispose de la dotation médicale obligatoire. Notez qu’il n’y a aucun médecin à bord, en cas de besoin l'équipage utilise le service de téléconsultation avec l’hôpital Purpan à Toulouse.
Durant la navigation vous serez protégés par les fjords, vous ne devriez pas sentir la pleine houle. Si vous êtes particulièrement sensible au mal de mer, rapprochez-vous de votre médecin généraliste avant le départ.
A bord, des combinaisons grand froid sont prêtées pour les sorties en bateau pneumatique si nécessaire, disponibles en tailles S à XL.
Merci de nous indiquer aussi vos allergies connues aux médicaments, ainsi que les traitements médicaux suivis, ceci afin de disposer de ces informations à bord en cas de besoin.
Passeport valide pour les ressortissants de l’Union Européenne. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa pour les ressortissants de l’Union Européenne. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Aucune vaccination obligatoire.
Comme partout, il est important d'être immunisé contre :
- diphtérie ;
- tétanos (complication possible de gelures graves) ;
- poliomyélite ;
- coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage) ;
- hépatite B (maladie sexuellement transmissible) ;
- hépatite A (maladie transmise par l'alimentation) ;
- éventuellement contre la rage, pour des séjours plus longs et rustiques que les voyages touristiques ordinaires.
Ils sont, bien sûr, très différents en fonction des conditions du voyage (durée, hébergement, déplacement) et peuvent être dus : à la région elle-même ; aux conditions climatiques parfois extrêmes ; aux moyens de déplacement utilisés sur place.
La région.
Si, l’hiver, la circulation des microbes et des virus se fait plus difficilement que dans les zones tempérées ou chaudes, l’été, leur transmission d'homme à homme, de l'animal à l'homme ou des aliments à l'homme est un risque non négligeable. Risque, en particulier, de toxi-infections alimentaires dues aux viandes de chasse, aux aliments contaminés par des déjections d'animaux sauvages ou par leur mauvaise conservation à bord des bateaux de croisières.
Les conditions climatiques.
L'extrême rigueur des hivers péri-polaires représente un risque lors de raids à ski, en raquettes, en traîneau ou à motoneige, plus que lors de confortables croisières.
Une bonne information avant le voyage, permettra d'éviter les gelures graves.
En cas d'onglée ou d'engourdissement, il faut :
- boire abondamment,
- réchauffer,
- ne pas fumer,
- ne pas ôter les chaussures (risque de ne pas pouvoir les remettre si le raid n'est pas terminé).
En cas de lésions plus avancées (douleur, doigt « mort », œdème, nécrose), l’évacuation vers un centre spécialisé est une urgence.
Moyens de déplacement.
Les voyages dans les régions polaires se font souvent en bateau de croisière. Les risques, liés surtout au confinement en espace clos, sont (quelle que soit la latitude) de toutes les affections contagieuses, respiratoires, alimentaires…
Il y a en général, et bien que la législation maritime soit floue à ce sujet, un médecin à bord (dont les consultations ne sont pas comprises dans le prix du voyage). Il est important de se faire préciser tout cela avant le départ.
Grâce au courant chaud du Gulf Stream, la côte jouit d’un climat doux pour ces latitudes ; l’hiver, le froid est toujours plus vif dans l’intérieur. Les précipitations sont fréquentes toute l’année (neigeuses l’hiver, spécialement au nord). La meilleure saison pour visiter l’ouest est l’été ; il est, en revanche, chaud au centre et à l’est. Ski de fond possible tout l’hiver dans le sud ; à partir de mars-avril au nord (froid moindre, jour suffisant). L’extrême nord connait une période de nuit permanente de fin novembre à fin janvier, et une période de jour permanent de mai à fin juillet.
Climat
L’été connaît une faible amplitude thermique. Du fait de l’absence de nuit, la température est beaucoup plus stable.
Sur la côte ouest, partie la plus douce, la moyenne est d’environ 5°C avec des valeurs variant entre 1° et 10°C. Le maximum enregistré est de 17°C. Il est courant d’observer de courtes périodes de gel en plein été.
Les précipitations sont peu abondantes, environ 40mm par an sur la côte ouest et un peu moins à l’intérieur de l’archipel. La saison la plus humide est l’automne. Avec des valeurs pourtant basses par rapport aux pays tempérés, le Svalbard est une des régions arctiques les plus humides.
En raison de la latitude du Svalbard, l’alternance jour/nuit n’est pas la même que sous nos latitudes. En été le soleil est en permanence au-dessus de l’horizon alors qu’en hiver la nuit est continuelle. Le passage du jour à la nuit est d’autant plus rapide que la latitude est élevée. Le tableau ci-après donne les dates clés pour la latitude de Longyearbyen (78°) et au nord du Spitzberg (80°).
Les glaces[/B]
60% de l’archipel sont recouverts de glaciers. Les plus grandes calottes polaires se trouvent dans le nord-est, particulièrement sur Norsaustlandet. Alors que l’île la plus au nord (Kvitøya) est totalement recouverte de glace, la plus au sud (Bjørnøya) est dépourvue de glaciers. Les régions les moins glacées du Spitzberg sont le Nordenskiöld Land (près de Longyearbyen) et Andree Land au nord. Ce sont les zones au climat plus continental, c’est-à-dire moins humide et plus ensoleillé.
Depuis le XIXe siècle, la plupart des glaciers ont nettement reculé. De grandes moraines marquent leur extension maximale nettement au-delà de leur front actuel. En général, ces variations sont de bons indices du climat. Au Svalbard, les glaciers peuvent brusquement avancer de plusieurs kilomètres à raison de 30 à 40m par jour, puis se stabiliser et rester immobiles pendant des années. Ce phénomène qui reste mal connu et difficilement expliqué, s’appelle "surge". Récemment les glaciers ont reculé, ce qui occasionne des erreurs sur les cartes actuelles qui placent le front en avant de sa position actuelle. Leur position est donc à prendre avec une certaine réserve.
Les glaciers se terminant dans la mer génèrent des icebergs. Ils sont beaucoup plus petits au Svalbard que ceux que l’on rencontre au Groenland ou en Antarctique. La banquise a son extension maximale en avril. En moyenne l’ensemble de l’archipel, excepté Bjørnøya au sud, est bloqué par la glace en hiver. Sur la côte ouest, seule une faible largeur (environ 50 km) est recouverte mais le nord-ouest est souvent dégagé, même en hiver. En août, la banquise est à son minima. Les conditions de glace sont variables d’une année sur l’autre et d’une période à l’autre. Il suffit d’un coup de vent pour chasser la glace au large ou au contraire bloquer une partie de la côte.
La faune
Il y existe trois espèces de mammifères originaires du Svalbard : le renard arctique, le renne du Svalbard et l’ours polaire.
Le renard se trouve partout au Svalbard. Le renne, bien représenté à l’origine, a été chassé massivement jusqu’en 1920. En 1925 une protection totale a été décidée. L’ours a pour territoire la glace mouvante mais on le rencontre souvent sur la terre ferme en hiver.
La chasse a été réglementée en 1970 puis totalement interdite en 1976. On croise des ours blancs sur tout l’archipel, notamment le long des côtes orientales et septentrionales. Un ours affamé peut être agressif et dangereux pour les êtres humains. Soyez donc circonspects lors de vos randonnées pédestres. Une arme est obligatoire lors des excursions.
En mer, on croise surtout des phoques annelés (leur nom vient des dessins en forme d’anneaux qu’ils portent sur le dos), appelés aussi phoques marbrés. Le phoque barbu, beaucoup plus grand (200 à 300 kg pour près de 3m de long) n’est pas très sauvage et se laisse facilement approcher. Le morse avait presque disparu dans les années 50 jusqu’à ce que le gouvernement norvégien décide de sa protection. Il a réinvesti le nord de l’archipel autour de l’île de Moffen et dans le goulet entre le Spitzberg et l’île du Roi Charles.
Le Spitzberg est parfois surnommé "Galapagos de l'Arctique" tant la densité d'oiseaux est importante. Beaucoup d'oiseaux de mer viennent s'y reproduire durant le court été arctique. Les oiseaux sont particulièrement bien représentés en quantité et en variété. Le lagopède réside toute l’année au Svalbard. A l’approche de l’été, des millions d’oiseaux viennent nicher. On peut citer : le guillemot de Brünnich et le guillemot à miroir, le mergule nain, le macareux moine, la mouette tridactyle, le goéland sénateur, la sterne arctique (l’oiseau qui fait la plus grande migration puisqu’on la retrouve en Antarctique), le labbe parasite, le pétrel fulmar, l’eider à duvet, la bernache nonnette, l’oie à bec court, le bruant des neiges, le plongeon catmarin, le bécasseau violet, le phalarope à bec étroit...
Pour notre bonheur, les moustiques n’ont pas envahi le Svalbard.
Les cétacés avaient disparu, massacrés par les chasseurs baleiniers du XVIIe siècle. Néanmoins on peut observer des groupes de bélugas le long des côtes et au fond des fjords. Les rorquals, baleines à bosse et même une baleine bleue ont été observés durant l'été 2012 et semblent à nouveau fréquenter les côtes du Svalbard.
La flore
En raison du sous-sol gelé en permanence, l’eau ne peut s’infiltrer, ce qui donne un sol souvent marécageux, surtout en zone plane. La saison de dégel ne dure que de 6 à 10 semaines. Dans ces conditions aucun arbre, au sens ou nous le connaissons, ne pousse. Mais ils se sont adaptés au climat. Le saule arctique et le bouleau nain ne mesurent que quelques centimètres de hauteur, de même que l’ensemble de la végétation qui reste au ras du sol pour se protéger du vent et profiter au maximum des rayons du soleil. Les zones les plus prisées par la végétation sont les éboulis aux pieds des falaises où nichent les oiseaux. Les déjections y apportent de la matière nutritive favorable au développement des mousses et des lichens. C’est un signe repérable pour localiser les colonies. La région centrale du Spitzberg représente à elle seule 75% des 170 espèces présentes. Il est interdit de prélever, cueillir ou détruire toute végétation. De plus il faut se déplacer sur cette végétation fragile avec beaucoup de précaution car elle met de nombreuses années à pousser.
Notre partenaire s'engage à suivre les directives de l'AECO (Association of Arctic Expedition Cruise Operators) pour les visiteurs concernant la préservation de l'environnement et la sécurité dans les régions polaires. Cette association internationale regroupe les organisateurs de croisières-expéditions dans l'Arctique.
Mesures prise à bord pour limiter son impact environnemental
Limitation des plastiques à usages uniques
- Pas de gobelets plastiques jetables à bord
- Lutte contre les emballages inutiles, à bord il n'y a ni savonnettes individuelles, ni mini flacons de shampoings, mais des distributeurs de gel douche dans chaque salle de bain. Nous avons également arrêté d'acheter les produits alimentaires emballés individuellement, comme les chocolats pour accompagner le café, les confitures, miel etc des petit déjeuners. Tout est acheté en gros puis conditionné dans des pots en verre qui sont nettoyables.
- Fin des bouteilles plastiques, y compris pour l'eau. Les passagers peuvent utiliser un verre ou apporter une gourde, sachant que l'eau du bord est potable et très bonne, grâce à un excellent système de filtration et un contrôle rigoureux des capacités de stockage, avec analyses régulières.
Produits d'entretien et cosmétiques
- Les savons, gel douche, produits de nettoyage et lessives utilisés à bord sont tous labellisés Cosmébio. Cela afin de garantir l’absence d’ingrédients controversés et nocifs pour la santé : MIT (méthylisothiazolinone), phénoxyéthanol, parabène, huile issue du pétrole (vaseline, paraffine...), silicone, EDTA, BHT, d´OGM, etc. Mais aussi des parfums 100% d’origine naturelle. Tous ces produits sont achetés en vrac pour réduire encore les emballages, puis utilisés sans des distributeurs.
- Lutte contre les micro particules des eaux de lessives. Les textiles synthétiques polluent l’environnement. Au cours du lavage de nos vêtements, des fibres plastiques brisées pénètrent dans les eaux usées et ne peuvent être filtrées efficacement ni par les lave-linges ni par les stations d’épuration. Si l’on additionne ainsi tous les ménages, il en résulte une pollution gigantesque. Nous utilisons des sacs spéciaux (guppybag) afin de filtrer ces particules infimes de fibre synthétique qui se détachent de tous les vêtements au cours des cycles de lavages normaux.
Gestion des déchets
- Tri des déchets à bord bien entendu ! Et nous essayons d'obtenir de nos fournisseurs locaux de fruits et légumes des conditionnements en vrac en caisses consignées plutôt que cartons et légumes filmés.
Repas
- Nous avons mis en place un menu végétarien par semaine pour diminuer la consommation de viandes et poissons. Les cafés, thés, infusions son tous bio. Nos poissons sont toujours achetés auprès des pêcheurs locaux, ou pêchés par l'équipage, et nos viandes proviennent d'élevages traditionnels et labellisés de l'Aubrac.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus https://www.philipperomero-insolitebatisseur-foundation.org/
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Retrouvez nos guides de voyage sur notre site de la librairie polaire
Jean Jouzel, Claude Lorius et Dominique Raynaud,
Planète blanche, Ed. Odile Jacob
Gérard Bodineau,
Spitzberg, l’archipel du Svalbard, Guides GNGL
Nathalie Thibault,
Faune et Flore du Grand Nord, Guides GNGL
Vsevolod Romanovskiy,
Le Spitzberg et les baleiniers basques, Atlantica
Willem Bareentz,
Prisonniers des glaces (1594-1595), Chandeigne
années
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390 voyages
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