









Ce voyage vous entraîne, par les chemins les plus variés, au cœur des paysages les plus contrastés de l’île et de ses plus beaux sentiers. Champs de lave, mousses vertes, fumerolles en suspens. l’Islande impose sa force. En quatorze jours, on traverse la diversité des éléments entre désert et océan.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
de 0 à 4h d'activité par jour en moyenne avec un dénivelé moyen pouvant aller jusqu'à 300m
Engagement
Ce voyage peut nécessiter quelques efforts. Les conditions sont majoritairement bonnes et le programme comporte un peu de challenge. Le voyage demande une appétence pour la nouveauté. Il est accessible à une majorité de personnes.
Altitude
Moins de 1500 mètres
À la sortie de l’aéroport, la route traverse les champs de lave de la péninsule de Reykjanes, étendue noire et fracturée qui donne le ton du territoire. Le paysage est brut, minéral, silencieux. On rejoint Reykjavík, posée entre mer et montagne. Installation dans l’hébergement. Dîner libre.
Le voyage prend son élan. Depuis Reykjavík, on met le cap vers l’intérieur. À Thingvellir, les failles s’ouvrent sous nos pas, la terre se déchire, l’histoire pèse aussi. À Geysir, le Strokkur jaillit, régulier, comme un souffle venu du sol. À Gullfoss, l’eau s’engouffre dans une gorge étroite, dernière frontière avant les hautes terres. On quitte l’asphalte. La piste de Kjolur file vers le nord, entre sable, pierre et silence. Le Langjökull s’étire à l’ouest, le Hvitarvatn s’efface, les cratères des Jarlhettar bordent la route. En fin de journée, on bifurque vers les Kerlingarfjoll, montagnes rousses et tourmentées. Installation au cœur du massif. Le paysage se resserre, le corps entre en territoire.
Vers le nord, entre vapeurs et silence. Le matin, on prend le temps d’explorer les Kerlingarfjöll. Dans les vallées de Hveradalir, les couleurs se diffusent sur les pentes, entre fumerolles, névés persistants et boues en mouvement. Le sol respire, le paysage fume, le corps s’adapte. On reprend la piste vers le nord. À Hveravellir, les solfatares bouillonnent, les vapeurs s’élèvent, une source chaude invite à la pause. On quitte les hautes terres. Les glaciers Langjökull et Hofsjökull s’éloignent, les reliefs s’adoucissent. La route redescend vers les fjords du nord. Installation dans la région du Skagafjördur.
Le matin, on prend le temps de visiter l’écomusée de Glaumbaer. Les murs de tourbe, les toits d’herbe, les pièces étroites racontent une Islande rurale, celle des XVIIIe et XIXe siècles, façonnée par le climat et les contraintes naturelles. On reprend la route. La vallée glaciaire s’étire, le col d’Öxnadalsheidi ouvre sur des reliefs plus doux. On atteint Akureyri, posée au fond du fjord Eyjafjördur, deuxième ville du pays mais toujours bien plus petite que la grande capitale Reykjavik. Un arrêt à Godafoss, la « chute des dieux », pour finir la journée. En fin d’après-midi, on rejoint les abords du lac Mývatn pour deux nuits.
La journée se déroule autour du lac Mývatn, pays au sol vivant, posé sur le rift actif. Le sol y bouge encore, les formes y sont très diverses. On marche entre les coulées de lave figées, les cratères de scories, les marmites de boue en ébullition. La caldeira du Krafla domine sur un paysage noir, soufflé, marqué par les éruptions des années 1975 à 1985. Le décor est brut, contrasté, sans détour. En fin de journée, ceux qui le souhaitent peuvent s’immerger dans les eaux chaudes des Jardbödin - une sorte de Blue Lagoon Local, bassin à ciel ouvert aux reflets turquoise.
Cap au sud-est. Retour vers le désert. La route traverse un vaste plateau avant de plonger dans le canyon de la rivière glaciaire Jökulsá, creusé par des crues violentes, récentes à l’échelle géologique. À l’entrée du canyon, les chutes de Dettifoss et leur débit, en faisant la chute la plus puissantte du pays, et de toute l’Europe. On marche au bord de la gorge, dans un paysage raboté par la force de l’eau. Puis le décor change. On traverse l’Ódádahraun, désert de lave aux étendues silencieuses, marqué par les légendes et les absences. Un arrêt dans la réserve naturelle de Herðubreid marque l'entrée du plus minéral des désert islandais. En fin de journée, on atteint le massif d’Askja. Enorme Stratovolcan, visible depuis l'espace. La dernière éruption majeure, en 1875, a recouvert les alentours d’un tapis de pierres ponce. Le paysage devient lunaire, l’atmosphère se densifie. On s’installe à Drekagil, "la gorge du dragon", au pied du géant, aux portes d'Askja.
La journée se déroule à pied, dans le massif d’Askja. On rejoint les bords de la caldeira, perchés entre deux mondes : d’un côté, le lac de cratère, vaste et silencieux ; de l’autre, l’Ódádahraun, désert de lave qui s’étend jusqu’à l’horizon, avec le glacier Vatnajökull en toile de fond. On progresse entre les solfatares, les coulées noires, les scories. Une pause est parfois possible dans les eaux tièdes et sulfureuses du cratère Víti, dont le nom signifie « l’Enfer ». Le paysage semble hors du temps, entre paix et effondrement. Askja est un système volcanique complexe, né sous la glace, dont les éruptions restent mal connues. Son éloignement, sa forme, son silence en font un lieu à part, où la pesante force règne en silence. On rentre à Drekagil, la gorge du dragon, pour une seconde nuit.
On quitte le cœur minéral du pays pour rejoindre les côtes. La route traverse les derniers plateaux désertiques, étendues silencieuses où la lave domine encore. Peu à peu, les couleurs changent. Le vert tendre des vallées succède au noir des scories, le bleu profond des fjords annonce le retour de l’eau. En chemin, on approche à pied les gorges de Hafrahvammagljúfur, entaille spectaculaire dans le basalte. Plus loin, la silhouette du Snæfell se détache. Volcan probablement éteint, il marque l’entrée dans l’est comme un repère, en écho au Snæfellsjökull de l’ouest, volcan éponyme. On s’installe pour la nuit dans la région des fjords.
On poursuit vers le sud-est, entre mer et montagne. Les fjords de l'Est proposent une une des plus belles itinérances du pays. La chute de Hengifoss se dévoile en début de journée, fine et verticale, posée sur des escaliers de basalte. La route serpente ensuite entre les fjords, longe les nombreux fjords, traverse des villages posés au bord de l’eau. À Fáskrúdsfjördur, les noms de rue sont en français, mémoire des marins bretons venus pêcher dans ces eaux froides. Un petit cimetière rappelle cette histoire, close avec la Seconde Guerre mondiale. D’un fjord à l’autre, on observe les oiseaux marins, les phoques, les cygnes en migration estivale. À Lónsvík, la baie s’ouvre entre les silhouettes d’Eystrahorn et Vestrahorn, montagnes sombres aux lignes nettes, souvent plongées dans des mystérieuses écharpes de brume. On croise sur la route un second cimetière, à Stafafell, abrite d’autres tombes de marins français disparus en mer. Puis, au détour d’un relief, le glacier Vatnajökull réapparaît, débordant vers la mer. On longe la côte jusqu’à notre hébergement. On arrive dans le sud.. Nuit aux environs de Höfn.
Le matin, départ vers la lagune glaciaire de Jökulsárlón. Le site est très récent : au milieu du XXe siècle, le front du glacier s’est retiré, laissant place à une étendue mouvante, où dérivent des blocs de glace, portés par le courant jusqu’à l’océan. Le paysage s'anime au rythme des vents et des marées. Les sternes arctiques y habitent les alentours, et quelques phoques croisent dans le chenal. On déambule entre éclats de glace et sable noir, dans une promenade singulière. On ressent cette touche d'acrtique, cette première porte qui s'ouvre vers les terres polaires.
Ensuite, la route s’enroule autour du Hvannadalshnúkur, sommet du pays, avant d’atteindre le parc national de Skaftafell. La nature reprend s'épaissit : bouleaux arctiques, tapis de mousse, fleurs discrètes. On avance sur un plateau ouvert, jusqu’à la cascade de Svartifoss - la chute noire - encadrée par des orgues basaltiques aux lignes nettes. En hauteur, les langues de glace s'étirent vers les plaines, dessinant les étendues minérales.
Le regard s’égare, l’horizon s’ouvre. On entre dans une autre Islande, celle du sud, entre volcans et glaciers.
On quitte Skaftafell et les langues de glace pour traverser les déserts de sable noir aperçus la veille. Le front du Skeidarárjökull s’étale au loin, immense, silencieux. Il sert de vidange au volcan Grímsvötn, dont les éruptions sous-glaciaires libèrent parfois des flots violents. En 1996, la plaine fut inondée, les ponts emportés, la côte redessinée. Plus loin, les coulées du Laki, recouvertes de mousse sur des dizaines de kilomètres, rappellent l’éruption du XVIIIe siècle qui bouleversa le pays. On bifurque vers les gorges de Fjaðrárgljúfur, creusées par l’eau, discrètes et sculptées. Le sol change. La route se poursuit vers le nord par la piste de Fjallabak. Les landes verdissent, les formes s’adoucissent. Un arrêt à Eldgjá, la gorge de feu, marque une nouvelle rupture. La faille s’étire sur plusieurs dizaines de kilomètres, profonde, béante. On découvre le site à pied, entre basalte et silence. Installation dans les environs, de nouveau, à la frontière des grands espaces minéraux.
On poursuit par la piste de Fjallabak, littéralement « par derrière les montagnes ». La route traverse des gués, serpente entre vallées et plateaux, longe des zones de mousses aux teintes multiples, du vert tendre au vert acide. Ouvrez les yeux, ouvrez vos sens. Une des plus belles routes du pays, dans un méandre de ruisseaux et de gorges basaltiques. En fin de matinée, on atteint le massif du Landmannalaugar. À pied, on explore les reliefs singuliers de la réserve naturelle. Selon l’envie, on grimpe vers les plateaux de Hrafntinnusker, marqués par une activité géothermale intense, ou on s’élève sur le mont Skalli, pour observer la vallée de Jökulgil et ses strates minérales. La crête de Háalda, ondulée et aérienne, offre une lecture panoramique du territoire. En fin de journée, baignade possible dans une rivière chaude, posée au creux du vallon. On rejoint Landmannahellir pour la nuit, dans un décor apaisé, entre toundra verdoyante et moutons égarés.
Le matin, on explore les alentours de Landmannahellir, entre lacs paisibles et vallons silencieux. Puis la piste reprend, direction le volcan Hekla. Le décor change : sable noir, cendre, lumière rasante. On traverse les contreforts du volcan, dans une ambiance minérale, presque lunaire, un dernier adieu des hautes terres.. Hekla est l’un des volcans les plus actifs du pays, ses éruptions récentes ont marqué le territoire : 1947, 1970, 1980, 1991, 2000. Comme Askja, il incarne une autre forme de puissance, un autre monde. La route descend, la côte verte, les fermes, les pâturages. La campagne reprend donc ses droits. On rejoint Reykjavík dans la journée. Déjeuner, après-midi et dîner libres. Nuit dans la capitale.
Transfert et vol retour.
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Des nuits en dur, au rythme du voyage
Treize nuits au total : onze en refuge, deux en guesthouse. À Reykjavík, vous dormez en chambre double, avec sanitaires partagés à l’étage. Sur le reste du circuit, les nuits se font en dortoirs, dans des refuges ou auberges de jeunesse, avec sanitaires collectifs, parfois extérieurs. Le confort est simple, l’ambiance chaleureuse.
Trois types d’hébergements
- Les guesthouses sont de petits établissements familiaux, souvent proches des axes principaux. Elles proposent des chambres avec sanitaires à partager ou privatifs, un petit déjeuner inclus, et parfois un service de restauration. Le Wi-Fi est généralement disponible.
- Les auberges offrent des couchages en dortoirs de deux à quinze lits, avec sanitaires collectifs. Une cuisine équipée est à disposition pour les repas. Le sac de couchage est souvent requis. Dans les zones fréquentées, les auberges peuvent être vastes et composées de plusieurs bâtiments ; dans les régions plus isolées, il s’agit parfois de chalets ou de maisons de campagne.
- Les refuges sont situés dans les hautes terres. Simples et fonctionnels, ils accueillent les randonneurs dans de grands dortoirs de dix à trente places. L’eau courante est disponible, les douches sont payantes (environ 4€ pour cinq minutes d’eau chaude). Les sanitaires peuvent être dans un bâtiment séparé. Une cuisine est souvent présente, plus ou moins équipée. Un gardien est sur place, mais les services sont limités.
Itinérant
de 0 à 4h d'activité par jour en moyenne avec un dénivelé moyen pouvant aller jusqu'à 300m
Bien choisir le niveau de votre voyage
9 jours de marche.
Un itinéraire dense, pensé pour l’exploration
Ce voyage traverse une large partie de l’Islande. Les déplacements se font en bus privatisé, adapté aux pistes des hautes terres. Ce mode de transport permet de relier des sites très variés, tout en ménageant des temps de pause, de marche ou de découverte. Certaines journées sont plus actives, avec jusqu’à cinq ou six heures de marche. Le guide ajuste le rythme en fonction du groupe, mais il faut pouvoir marcher une journée entière. Ces journées sont espacées pour permettre la récupération.
Marcher dans la matière
Le terrain islandais est changeant : sable volcanique, roche, mousse, coulées de lave, gués à franchir… Les dénivelés restent modérés, mais les pentes peuvent être raides, et les sentiers parfois inexistants. On avance à son rythme, dans un cadre brut, en suivant les consignes du guide. Aucun problème lié à l’altitude.
Trois tempos pour un même voyage
A. Certaines étapes se déroulent sur deux nuits au même endroit. Cela permet de consacrer une journée entière à l’exploration à pied (4 à 6 heures de marche), comme à Mývatn ou Askja.
B. D’autres journées alternent route et balades, avec une ou plusieurs randonnées plus courtes : Hveravellir, Kerlingarfjöll, Skaftafell, Jökulsárlón, Eldgjá…
C. Enfin, quelques journées servent de transitions, avec des marches plus légères, pour relier les grands sites : Thingvellir, Gullfoss, Skagafjörður, les fjords de l’Est…
Et la météo dans tout ça ?
Capricieuse, changeante, parfois rude. Soleil, pluie, vent : tout peut se succéder dans la même journée. Il est essentiel de bien suivre la liste d’équipement pour rester au sec, au chaud, et profiter pleinement du voyage. Vêtements chauds, couches techniques, veste imperméable, pantalon de pluie, chaussures bien étanches : tout compte. Le coton est à proscrire, les guêtres sont un plus.
Des nuits en dur, au rythme du voyage
Treize nuits au total : onze en refuge, deux en guesthouse. À Reykjavík, vous dormez en chambre double, avec sanitaires partagés à l’étage. Sur le reste du circuit, les nuits se font en dortoirs, dans des refuges ou auberges de jeunesse, avec sanitaires collectifs, parfois extérieurs. Le confort est simple, l’ambiance chaleureuse.
Trois types d’hébergements
- Les guesthouses sont de petits établissements familiaux, souvent proches des axes principaux. Elles proposent des chambres avec sanitaires à partager ou privatifs, un petit déjeuner inclus, et parfois un service de restauration. Le Wi-Fi est généralement disponible.
- Les auberges offrent des couchages en dortoirs de deux à quinze lits, avec sanitaires collectifs. Une cuisine équipée est à disposition pour les repas. Le sac de couchage est souvent requis. Dans les zones fréquentées, les auberges peuvent être vastes et composées de plusieurs bâtiments ; dans les régions plus isolées, il s’agit parfois de chalets ou de maisons de campagne.
- Les refuges sont situés dans les hautes terres. Simples et fonctionnels, ils accueillent les randonneurs dans de grands dortoirs de dix à trente places. L’eau courante est disponible, les douches sont payantes (environ 4€ pour cinq minutes d’eau chaude). Les sanitaires peuvent être dans un bâtiment séparé. Une cuisine est souvent présente, plus ou moins équipée. Un gardien est sur place, mais les services sont limités.
Poisson frais, agneau tendre, produits laitiers de caractère. Sous serre, les Islandais cultivent tomates, poivrons, concombres, laitues, champignons… Les pommes de terre sont fermes, les carottes souvent sans traitement. Chaque jour, on partage les repas : petits déjeuners et dîners chauds, préparés avec le guide, déjeuners pique-niques en pleine nature. Une cuisine simple, locale, nourrissante. Pensez à nous signaler toute allergie avant le départ.
Un guide francophone, islandais ou français, accompagne le groupe tout au long du voyage. Il connaît le terrain, partage ses savoirs, ajuste le rythme, et mène les randonnées comme les visites. Il prépare les repas avec l’aide des participants, dans une ambiance collective. À partir de treize personnes, un chauffeur rejoint l’équipe pour fluidifier les déplacements.
Valises à éviter : elles sont peu adaptées à la logistique du circuit. Préférez un sac souple, solide, qui ne craint ni la pluie ni le sable. À l’intérieur, protégez vos affaires dans des sacs plastiques résistants.
Ne laissez rien de fragile dans votre bagage principal pendant la journée : matériel photo, électronique… Le transport et la manutention peuvent secouer. Si besoin, confiez ces objets à part au guide ou au chauffeur. Attention : en cas de casse, aucune responsabilité ne pourra être engagée.
Vols réguliers.
Téléphonie mobile
La couverture n’est pas totale. Sur la côte et le long de la route n°1, le signal est bon. Dans les villages, la 4G ou la 5G sont accessibles. Mais dans les hautes terres, le réseau peut disparaître.
Recharge des appareils
Sur le tour de l’île, c’est possible, mais pas garanti. Les refuges ne permettent pas toujours de recharger librement. Certains proposent un service payant. Dans les hautes terres, mieux vaut ne pas compter dessus. Pensez à emporter des batteries de rechange.
En pleine nature, il n’y a pas toujours de toilettes sur le parcours. Certains sites disposent d’installations sommaires : toilettes sèches, absence d’évier ou de savon. On s’adapte, avec simplicité, au rythme du territoire.
Bagages
Deux sacs, deux usages
Prévoyez un sac à dos (environ 40 litres) pour la journée : affaires personnelles, objets fragiles, médicaments. Il vous suivra en cabine et servira de bagage à main.
Le reste de vos affaires ira dans un grand sac souple, résistant à l’humidité et à la poussière. Pas de valise rigide : elle complique la logistique. Ce sac sera transporté chaque jour et retrouvé chaque soir.
Nos conseils
Protégez vos affaires dans des sacs plastiques solides. Gardez sur vous vos chaussures de randonnée, votre tenue du jour et vos essentiels, en cas de retard de bagage.
Les contrôles de sécurité sont stricts : couteaux, ciseaux, limes à ongles en soute.
En cabine : ce qui passe, ce qui ne passe pas
Liquides, gels, crèmes, aérosols : autorisés en flacons de 100 ml max, dans un sachet plastique transparent de 20 × 20 cm.
Exceptions : médicaments liquides (avec ordonnance) et aliments pour bébé (contenants refermables, test possible à l’embarquement).
Au contrôle : sortez vos appareils électroniques, votre sachet de liquides, vos médicaments et aliments spécifiques.
Les achats de liquides en duty-free sont autorisés après le contrôle, mais attention aux correspondances.
Le climat islandais est imprévisible. Vent, pluie, soleil, fraîcheur : tout peut changer en quelques minutes. Un bon équipement fait toute la différence. Il permet de marcher, de s’arrêter, de profiter. Un vêtement mal choisi, c’est un corps qui grelotte, un rythme qui se dérègle, une expérience qui s’efface.
Les règles de base
Pas de coton. Jamais. Ni t-shirt, ni chaussettes, ni jeans. Le coton garde l’humidité et sèche lentement. Préférez les fibres techniques, la laine ou la soie.
Choisissez des vêtements qui sèchent vite. Couvrez-vous avant d’avoir froid. Les vêtements ne réchauffent pas : ils conservent la chaleur que vous leur donnez.
À prévoir
– Un bonnet épais, doublé sur les oreilles, et un plus léger pour l’effort
– Une casquette et un cache-col pouvant couvrir les oreilles
– Une paire de gants chauds et une paire plus fine pour marcher
– Des t-shirts techniques (1 pour 2 ou 3 jours), manches courtes, respirants
– Un sous-pull ou une chemise manches longues
– Un gros pull ou une veste rembourrée pour le soir
– Une polaire épaisse
– Une veste imperméable et respirante type Gore-tex
– Un pantalon de randonnée léger, idéalement convertible
– Un pantalon souple pour le soir
– Un surpantalon imperméable et respirant type Gore-tex
– Une cape de pluie (fermée sur les côtés, avec cordon de serrage)
– Un maillot de bain
– Des chaussettes techniques (Coolmax ou laine), pas de coton
– Une paire de chaussures de randonnée solides, imperméables, avec bonne tenue de cheville
– Des lacets de rechange
– Une paire de sandales pour les gués
– Une paire de chaussures détente pour le soir
– Des guêtres (facultatif)
Les essentiels à glisser dans votre sac
– Une paire de lunettes de soleil de très bonne qualité
– Une gourde (minimum un litre)
– Une lampe frontale (à partir d’août)
– Un couteau de poche (en soute)
– Une pochette étanche pour l’argent et les papiers
– Des produits de toilette biodégradables
– Une serviette à séchage rapide
– Des boules Quies (fortement recommandées)
– Une crème solaire et un stick à lèvres
– Une paire de jumelles (facultatif)
Pour marcher mieux, plus longtemps
– Une paire de bâtons télescopiques : montées, descentes, terrains glissants, traversées de rivières… ils soulagent les articulations et stabilisent le pas.
– Du ruban adhésif type duct tape : imperméable, souple, ultra adhésif. Parfait pour les réparations de fortune (chaussures, vêtements, lunettes…). Conseil : enroulez-en un peu autour d’un bâton ou d’un crayon, pour l’avoir toujours sous la main.
– Un nécessaire de couture, pour les petits accrocs.
1 sac de couchage (confort entre 5 et 0°C)
Attention : les sacs de couchage en fibres synthétiques perdent de leur efficacité avec les années. Pensez au drap de sac (en soie ou en polaire) qui peut compenser dans une certaine mesure cette perte d'efficacité.
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
• Bande adhésive élastique (type Elastoplast, en 6 cm de large)
• Jeux de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
• Double peau (SOS Ampoules de marque Spenco, disponible en magasins de sport, en pharmacie, parapharmacie...)
• Une boîte de masques chirurgicaux ou ffp2 pour l'avion et les espaces où il est imposé
• Du gel hydroalcoolique
Une trousse de premiers secours fournie par l'agence et adaptée à votre voyage, est placée sous la responsabilité de votre accompagnateur.
Carte nationale d´identité ou passeport, valides pour toute la durée du séjour, pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Depuis le 1er janvier 2014, les cartes nationales d’identité sécurisées françaises délivrées à des majeurs entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 ont automatiquement une durée de validité étendue de 5 ans, sans modification matérielle du titre. Ainsi, la carte d’une personne majeure au moment de la délivrance portant comme date de fin de validité le 23 avril 2014 sera en réalité valable jusqu’au 23 avril 2019. De façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage (les autorités islandaises n'ayant pas précisé leur position quant à cette mesure), il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité.
Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité, vous pourrez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles en allant à l'adresse suivante : http://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-islande.pdf
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa requis pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Comme toujours et partout, il est important d’être protégé contre diphtérie, tétanos, coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), poliomyélite, hépatites A et B.
Si, comme dans tous les pays d'Europe, le voyageur n'est pas exposé aux risques sanitaires « exotiques », les risques comportementaux ou environnementaux peuvent être les mêmes qu'ailleurs.
Les infrastructures sanitaires sont, bien sûr, satisfaisantes partout, mais le coût des soins dans certaines structures privées réclame que l’on vérifie toutes les clauses du contrat d´assurance-assistance souscrit avant le départ.
Malgré sa position proche du cercle polaire, l’Islande n’est pas un pays glacé. Le Gulf Stream adoucit les côtes sud, ouest et nord-ouest, offrant un climat océanique tempéré : hivers relativement doux, étés frais. À Reykjavík, les températures moyennes vont de 0°C en janvier à 10°C en juillet. Dans les terres, les variations sont plus fortes.
Les pluies sont plus fréquentes au sud qu’au nord. Le vent, lui, est partout. Parfois discret, souvent puissant.
Mais ce qui définit vraiment le climat islandais, c’est son instabilité. Soleil, pluie, vent, éclaircie : tout peut changer en quelques minutes. « Si vous n’aimez pas le temps, attendez une minute… », dit-on ici.
Pas de nuit polaire : même en hiver, les journées durent de 10 à 16 heures. De mai à mi-août, la lumière est quasi permanente. Juin offre des jours sans fin. Les aurores boréales apparaissent dès septembre, avec un pic entre décembre et janvier.
Pour suivre la météo, les niveaux de rivières ou l’activité sismique : http://www.vedur.is (en islandais et en anglais).
Les territoires traversés sont fragiles. Leur équilibre dépend de l’attention qu’on leur porte. Même en petit groupe, notre passage laisse une trace. À chacun de veiller à la propreté des lieux, à ramasser ses déchets, à ne rien laisser derrière soi.
Même si certains sites sont déjà altérés, le geste reste essentiel.
Attention : en période sèche, les sols peuvent devenir très inflammables. Ne brûlez jamais votre papier toilette en pleine nature.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Retrouvez nos guides de voyage sur notre site de la librairie polaire
Pour 100 € payés sur ce voyage :
Notre approche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.
Le formidable guide-chauffeur-cuisinier (Tristan), le petit groupe de gens sympas (8 personnes, guide compris), et un véhicule pas trop grand permettant une grande mobilité dan les déplacements, ont rendu tout ce voyage exceptionnel dans ce pays exceptionnel!
Circuit de la grande boucle réalisé la première quinzaine de juillet 2025 avec une météo inouïe car seulement 30mn de pluie venteuse, juste de quoi tester ma tenue en GoreTex. Magnifiques paysages alternant verdure et minéral, sources chaudes et glaciers, déserts de cendres noires et de pierres ponces dorées, coulées de lave et cratères. Je suis un passionné de volcans et je me suis totalement régalé. Notre guide "Tristan" était un puits de connaissances sur l'Islande et aussi un excellent cuisinier. La diversité et la beauté des sites de casse-croûte rivalisait avec celles des gîtes tous différents et typiques.
Ce fut véritablement un magnifique voyage. Nous le devons bien entendu à l'Islande elle-même, mais aussi à Tristan notre guide toujours calme, très organisé, bon connaisseur de la géologie de son pays et aussi bon cuisinier, qui nous a fait passer un excellent séjour.
années
de voyages polaires
390 voyages
dans les pôles
8 experts
à votre service
de satisfaction
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100% carbone absorbé