








Ce raid à ski nordique est une véritable expédition. Une traversée engagée de la deuxième plus grande calotte glaciaire d’Islande, en autonomie complète. Chaque jour, avancer sur un désert blanc. Tracter sa pulka. Gérer l’effort. Composer avec le froid, le vent, l’imprévu. Encadré par un guide spécialiste de ces environnements extrêmes, vous progressez sur des terrains variés, entre glace vive, neige soufflée et reliefs invisibles. Le bivouac sous tente rythme les journées. Le silence, la lumière, l’isolement deviennent vos repères. En fin de raid, une nuit en refuge. Sommaire, mais suffisante pour mesurer le chemin parcouru. Ce séjour s’adresse à celles et ceux qui cherchent une expérience radicale, loin du confort, proche de l’essentiel. Condition physique solide, mental engagé : ici, on ne voyage pas, on s’implique.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
Bon / très bon skieur sur pistes et en hors-piste, à l'aise dans tous types de neige (fraiche, croûtée, dure) et sur les techniques de montée (conversions). Pratique le ski de randonnée au moins deux fois par hiver ou a déjà pratiqué. Révision des gestes du système de recherche en avalanche (DVA). Terrain accidenté pouvant être exposé et pente jusqu'à 30°. Itinérance possible avec portage sur quelques jours. Jusqu'à +1000m/jour.
Engagement
Ce voyage peut impacter fortement vos habitudes et demande une capacité d’adaptation importante pour se lancer. Des éléments comme la nourriture ou le confort peuvent être rudimentaires. Le terrain et le climat sont généralement techniques ou isolés. Une bonne capacité de récupération et un esprit collectif sont fortement conseillés. Le voyage s’adresse à des personnes en recherche d’une expérience forte et marquante.
Altitude
Moins de 1500 mètres
Vol pour l’Islande. Atterrissage sur une île battue par les vents. À la sortie de l’aéroport, l’air est déjà plus sec, plus vif. Transfert vers Reykjavik. Silence dans le bus. Chacun mesure ce qui l’attend. En ville, dernier dîner au chaud. Puis vérification du matériel. Chaque détail compte. Demain, on quitte l’asphalte. Direction les hautes terres. Le vide. Le vrai. Nuit en guest house. Dernières heures de confort avant l’engagement.
Départ matinal. Chargement du matériel dans un minibus 4x4 ou une Super Jeep, selon la taille du groupe et les conditions météo.
Cap vers l’intérieur. Objectif : atteindre l’extrémité ouest du Langjökull. La piste de Kaldidalur sert de repère. Mais rien n’est garanti. Neige fraîche, congères, visibilité réduite : chaque mètre se gagne. Temps de transfert variable. On s’adapte. On compose.
Arrivée prévue en début d’après-midi, si les conditions le permettent. Installation rapide. Préparation du matériel de progression : skis nordiques, fixations, peaux, pulkas. Brief technique. Premiers kilomètres sur pente douce. Prise en main du rythme. Ajustement des gestes. On entre dans l’expédition. Montage du bivouac sur neige compactée. Ancrage des tentes, vérification des haubans, creusement de tranchées coupe-vent. Première nuit sur glacier. Si le ciel s’ouvre, les aurores boréales pourraient danser au-dessus du camp.
Chaque jour, même rituel. Sortir du sac de couchage. Gratter la condensation gelée. Allumer le réchaud. Faire fondre la neige. Réchauffer les corps. Préparer les pulkas. Puis s’élancer. Skis aux pieds. Harnais ajusté. Cap au nord-est. Le glacier s’étend. Immobile. Implacable. On avance à la boussole, au GPS, à l’instinct. Rythme constant. Pas glissés. Silence. Le vent peut se lever. Le ciel peut basculer. Blanc total. Ou lumière crue. Chaque jour, une nouvelle configuration. Chaque jour, une adaptation. Pause rapide à midi. Debout. À l’abri d’un mur de neige. Puis on repart. Jusqu’à l’heure du camp. Montage des tentes. Ancrage dans la glace.
Creuser. Isoler. Organiser. Répartition des tâches. Gestion thermique. Séchage du matériel. Veille météo. Brief du lendemain.
La nuit, parfois, les aurores. Parfois, juste le noir. Et le froid. Mais toujours, cette sensation d’être exactement à sa place.
Derniers kilomètres sur le Langjökull. On quitte la glace. On retrouve la terre ferme. Cap vers les hauts plateaux de Kjölur. Devant nous : le massif du Háfjall. À l’est, les Tjófadalafjöll. Relief plus marqué. Terrain plus instable. On adapte le rythme. On ajuste les trajectoires. La zone géothermale de Hveravellir se dessine. Fumerolles. Sol instable. Odeur de soufre. On entre dans un autre type de milieu : chaud, actif, imprévisible. Arrivée en fin de journée. Déchargement. Bain dans une source chaude naturelle. Phase de récupération. Relâchement musculaire. Installation en refuge. Nuit sous toit.
Chargement du matériel. Départ en véhicule 4x4 par la piste de Kjölur.
Retour progressif vers le sud.
Les plateaux s’ouvrent. La route redevient visible.
Fin de l’isolement.
Premier contact avec la civilisation : Gullfoss. Puis Geysir. Touristes. Appareils photo. Contraste brutal. Mais la route passe par là. On s’arrête. On observe. On encaisse. Dernier arrêt à Thingvellir. Faille tectonique. Histoire islandaise. Site classé. Site symbolique. Arrivée à Reykjavik en fin de journée. Dépose du matériel. Dernier dîner en ville. Nuit en guest house. Retour au confort. Corps encore marqué par l’effort.
Ces tarifs sont valables pour des départs de Paris. Des départs d'autres villes sont possibles, n'hésitez pas à nous en faire la demande. Les prix indiqués ne sont valables que pour certaines classes de réservation sur les compagnies aériennes qui desservent cette destination. Ils sont donc susceptibles d'être modifiés en cas d'indisponibilité de places dans ces classes au moment de la réservation.
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
5 nuits en bivouac sous tente d’expédition (3 places pour 2 personnes)
2 nuits en guest house à Reykjavik (chambre twin, sanitaires partagés, petit déjeuner inclus)
1 nuit en refuge dans les hautes terres
En raid : bivouac sur neige. Tente mess prévue pour les repas (hors déjeuner, pris sur le terrain).
En refuge : dortoir non chauffé à l’arrivée. Chauffage à allumer. Pas de douche en hiver. Source chaude naturelle à proximité. Refuge isolé, rustique, sans confort superflu.
Itinérant
Bon / très bon skieur sur pistes et en hors-piste, à l'aise dans tous types de neige (fraiche, croûtée, dure) et sur les techniques de montée (conversions). Pratique le ski de randonnée au moins deux fois par hiver ou a déjà pratiqué. Révision des gestes du système de recherche en avalanche (DVA). Terrain accidenté pouvant être exposé et pente jusqu'à 30°. Itinérance possible avec portage sur quelques jours. Jusqu'à +1000m/jour.
Bien choisir le niveau de votre voyage
Ce raid à ski, bien qu’en Islande, relève d’une véritable expédition. Traversée sur calotte glaciaire. Autonomie complète. Tout le matériel, y compris la nourriture, est transporté dans une pulka. À tracter soi-même. Ce type d’itinérance demande une préparation sérieuse. Condition physique irréprochable. Solide mental. Capacité à affronter l’imprévu. L’engagement est total. L’esprit d’équipe est essentiel. Participation active aux tâches communes : montage des tentes, préparation des repas, gestion du camp. Chaque geste compte. Chaque membre est impliqué.
6.5 jours de ski nordique avec pulka.
De 5 à 10 participants
Difficulté :niveau 3+
Expédition itinérante à ski nordique, en autonomie.
Bivouac sur neige.
Maîtrise du ski de fond ou alpin conseillée.
Connaissance des conversions et du chasse-neige recommandée.
Pour qui ? :
Ce raid s’adresse à toute personne :
motivée par une immersion en territoire arctique ayant déjà pratiqué le ski (fond ou alpin) et le camping hivernal. Préparation physique indispensable. Condition mentale solide.
Activité physique quotidienne : 6 heures de ski, pulka tractée, températures de -10 à -20°C, parfois plus basses avec le vent.
Autonomie et logistique :
Vous partez en autonomie complète.
Chaque participant tracte sa pulka : affaires personnelles, matériel collectif, nourriture, essence.
Poids moyen : 30 kg.
Moins éprouvant que le portage, mais demande un effort constant.
Vie de camp collective.
Montage et démontage de la tente avec votre binôme.
Participation active aux tâches : tente mess, fonte de neige, préparation des repas.
Skier en Islande :
Ici, on réapprend à skier.
Neige changeante, météo instable.
Poudreuse, neige mouillée, croûtée, collante, verglacée… parfois tout ça en une journée.
Utilisation de skis à carres, écailles et peaux indispensable.
Les aurores boréales :
Période favorable, mais observation non garantie.
Ciel clair indispensable.
Phénomène naturel imprévisible.
Comme la pêche : parfois ça mord, parfois non. Mais il faut tenter.
Présence de motoneiges :
Possibles croisements avec motoneiges ou Super Jeep en début de raid. Ensuite, isolement total.
Ensoleillement et météo :
Consulter l’application Sunrise Times pour connaître les heures de lever/coucher du soleil et la durée du crépuscule. Prévisions météo et activité sismique sur http://www.vedur.is (en islandais et anglais).
La sécurité :
Le guide dispose d’un téléphone satellite. Usage strictement réservé aux urgences.
5 nuits en bivouac sous tente d’expédition (3 places pour 2 personnes)
2 nuits en guest house à Reykjavik (chambre twin, sanitaires partagés, petit déjeuner inclus)
1 nuit en refuge dans les hautes terres
En raid : bivouac sur neige. Tente mess prévue pour les repas (hors déjeuner, pris sur le terrain).
En refuge : dortoir non chauffé à l’arrivée. Chauffage à allumer. Pas de douche en hiver. Source chaude naturelle à proximité. Refuge isolé, rustique, sans confort superflu.
Alimentation locale, pensée pour l’effort.
Objectif : efficacité, apports nutritionnels adaptés à l’intensité physique.
Petit déjeuner copieux.
Boissons chaudes et encas (soupes, barres, fromage…) répartis sur la journée.
Repas chaud et consistant le soir.
Cuisine simple, sans fioritures.
On mange pour tenir. Et pour avancer.
Pensez à emporter une spécialité ou un apéritif de votre région. Pour le collectif. Pour le camp.
Ce raid est encadré par un guide islandais francophone ou un guide français installé en Islande.
Pas un simple diplômé de l’encadrement à l’étranger.
Un expert du terrain. Un habitué de ces conditions.
Sa connaissance du pays fait la différence.
Vols réguliers
Bonne condition physique indispensable.
Froid, vent, effort prolongé : les conditions sont exigeantes.
Pas d’hôtel. Pas de confort.
Juste vous, le terrain, et l’engagement.
L’Islande en hiver, c’est un laboratoire météo. Ciel bleu, blizzard, pluie verglaçante, brouillard blanc : tout peut arriver. Et souvent dans la même journée. L’itinéraire peut changer. Le programme aussi. Le guide décide. Vous suivez. C’est la règle. C’est la sécurité. Une tempête islandaise, ça se traverse. Ou ça se subit. Parfois, on skie. Parfois, on joue aux cartes en attendant que ça passe. Mais toujours, on s’adapte.
Prévoir deux sacs :
1 sac à dos (env. 40 L) pour la journée, les objets fragiles, de valeur et les médicaments.
1 grand sac souple pour le reste du matériel. Transporté par véhicule. Retrouvé chaque soir.
Le sac à dos passe en cabine. Limite de poids : 10 kg (6 kg sur vols domestiques).
Le sac souple va en soute. Poids précisé sur votre convocation.
Étiquettes bagages fournies avant le départ.
Recommandations : voyager équipé avec une tenue de randonnée sur vous dans l’avion.
Chaussures aux pieds ou dans le bagage à main.
En cas de retard de bagages, vous devez pouvoir partir.
Objets interdits en cabine : couteaux, ciseaux, limes à ongles ? en soute.
Liquides en cabine
Interdits sauf s’ils sont :
dans un sac plastique transparent fermé (env. 20 × 20 cm)
en flacons de 100 ml max chacun
Produits concernés : eau, boissons, parfums, crèmes, gels, dentifrice, déodorants, etc.
Exceptions autorisées
Médicaments liquides : avec ordonnance ou attestation
Médicaments solides : autorisés sans restriction
Aliments liquides pour bébés : autorisés, mais vous devrez peut-être les goûter
Contrôle de sûreté
Retirer veste ou manteau.
Présenter à part :
Appareils électroniques (ordinateur, appareil photo…)
Sac plastique avec liquides
Médicaments avec ordonnance
Aliments pour bébé
Achats en duty-free : sous sac plastique scellé. Attention aux correspondances.
Équipement : ne rien laisser au hasard
L’Islande en hiver, c’est l’imprévu permanent.
Un climat instable, humide, parfois violent.
Un équipement inadapté, et c’est tout le raid qui bascule.
Respecter la liste. Sans compromis.
À prévoir : 2 sacs
1 sac à dos (env. 40 L)
Pour la journée, les objets fragiles, de valeur, les médicaments.
Bagage cabine. Limite : 10 kg (6 kg sur vols domestiques).
1 grand sac souple
Pour le reste. Transporté par véhicule. En soute.
Étiquettes fournies avant le départ.
En journée : système 3 couches
1. Première couche
Sous-vêtements thermiques haut et bas. Pas de coton.
2. Deuxième couche
Polaires haut et bas (type Polartec).
3. Troisième couche
Veste et pantalon imperméables, coupe-vent, respirants (type Gore-Tex).
Capuche intégrée. Non doublés.
Pour skier
Skis, bâtons, chaussures ? fournis par Grand Nord Grand Large
Pour la tête
Bonnet Windstopper
Passe-montagne, cagoule, casquette
Lunettes glacier classe 4 + étui rigide
Masque de ski classe 2, double paroi
Foulard, masque néoprène
Crème solaire en stick, stick à lèvres
Pour les mains
Sous-gants
Gants laine
Surmoufles
Gants de secours
? Astuce : attacher les gants aux manches avec un élastique. En cas de vent, ça peut tout changer.
Pour les pieds
2 à 3 paires de chaussettes laine ou bouclette
Sous-chaussettes
Pour le soir
Veste type doudoune
Pantalon doudoune
Bottes type canadiennes
Pour le vol
Tenue de sport
Vos vêtements de voyage peuvent rester à Reykjavik
Équipement – pour manger
Thermos (min. 1 L)
Quart personnel type thermos
Couteau (à placer en soute)
Équipement – divers
Appareil photo : attention au froid.
? Piles lithium recommandées. Garder les batteries de rechange sur soi.
Brosse à vêtements : utile contre neige, glace, givre (vêtements, skis, fixations)
Mouchoirs, papier toilette, briquet
Jumelles (conseillées)
Crème solaire en stick (tube = gelé)
Lingettes hydratantes en pochettes individuelles (à garder sur soi)
Sacs étanches légers pour protéger vos affaires dans la pulka
Lampe frontale
Bouteille type Nalgene pour les besoins nocturnes
Maillot de bain ? pour le bain chaud à Reykjavík
Sac de couchage basses températures. Disponible à la location.
Des chaufferettes pour les pieds et les mains peuvent êtres utiles.
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur: aspirine ou équivalent
• Anti-diarrhéique
• Antiseptique intestinal
• Traitement antibiotique à large spectre: prévoir 8 jours de traitement
(sur prescription médicale)
• Pommade anti-inflammatoire
• Collyre (poussière, ophtalmie)
• Pastilles purifiantes pour l’eau de boisson
• Bande adhésive élastique
• Jeu de pansements adhésifs
• Compresses désinfectantes
• De la vaseline pour les gelures
• Double peau (protection contre les ampoules, disponible en pharmacie)
• Traitement pour rhume et maux de gorge
• Crème type Biafine pour les brûlures
Une pharmacie collective complémentaire adaptée à votre voyage est placée sous la responsabilité de votre accompagnateur.
Couverts, bols et assiettes, matériel de cuisine collectif (repas préparés par le guide avec la participation du groupe)
Pelles à neige
Skis Fischer fixations N75
Bâtons
Chaussures type Baffin 3 Pin Guide Pro
Tente d’expédition 3 places pour 2 personnes (The North Face VE 25)
Pulka et harnais
Téléphone satellite
Carte nationale d´identité ou passeport, valides pour toute la durée du séjour, pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Depuis le 1er janvier 2014, les cartes nationales d’identité sécurisées françaises délivrées à des majeurs entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 ont automatiquement une durée de validité étendue de 5 ans, sans modification matérielle du titre. Ainsi, la carte d’une personne majeure au moment de la délivrance portant comme date de fin de validité le 23 avril 2014 sera en réalité valable jusqu’au 23 avril 2019. De façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage (les autorités islandaises n'ayant pas précisé leur position quant à cette mesure), il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité.
Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité, vous pourrez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles en allant à l'adresse suivante : http://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-islande.pdf
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa requis pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Comme toujours et partout, il est important d’être protégé contre diphtérie, tétanos, coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), poliomyélite, hépatites A et B.
Si, comme dans tous les pays d'Europe, le voyageur n'est pas exposé aux risques sanitaires « exotiques », les risques comportementaux ou environnementaux peuvent être les mêmes qu'ailleurs.
Les infrastructures sanitaires sont, bien sûr, satisfaisantes partout, mais le coût des soins dans certaines structures privées réclame que l’on vérifie toutes les clauses du contrat d´assurance-assistance souscrit avant le départ.
L’Islande n’est pas un pays glacé en permanence. Le Gulf Stream adoucit les côtes sud, ouest et nord-ouest. Climat océanique tempéré : hivers modérés, étés frais. À Reykjavik, moyenne de 0?°C en janvier, 12?°C en juillet. Plus froid à l’intérieur des terres : jusqu’à -15?°C, parfois moins. Pluies plus fréquentes au sud. Vents réguliers, parfois violents. Mais la vraie constante, c’est l’instabilité. En Islande, le temps change vite. Très vite. Pas de nuit polaire. En hiver, journées courtes (10h–16h). De mai à mi-août : jour quasi permanent. Juin : lumière continue. Aurores boréales visibles de septembre à janvier, si le ciel est dégagé.
Prévisions météo et infos sismiques sur http://www.vedur.is (en islandais et anglais).
L’équilibre des zones traversées est fragile. Même en petit groupe, notre passage laisse une trace.
À chacun de limiter son impact. Ramasser tous ses déchets. Même les plus petits : papiers, mouchoirs, emballages. Même si le site est déjà pollué. On ne laisse rien derrière. Propreté du camp, respect des lieux.
C’est une responsabilité individuelle. Et un engagement collectif.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Retrouvez nos guides de voyage sur notre site de la librairie polaire
Pour 100 € payés sur ce voyage :
Notre approche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.
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