








De Landmannalaugar à la vallée de Thórsmörk, on s’élance sur un sentier bien tracé, au cœur de la réserve naturelle de Fjallabak. Chaque jour, le décor se réinvente. On traverse des hauts plateaux volcaniques, on longe des montagnes peintes à la main, on s’égare dans des déserts de sable noir, on frissonne au bord de canyons sculptés par le temps.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
de 5 à 6h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 500 à 800m
Engagement
Ce voyage demande un certain goût de l’effort pour vivre pleinement l’expérience. Vos habitudes peuvent être affectées, notamment le confort, l’hygiène, la nourriture, l’engagement physique et mental. Une bonne capacité d’adaptation est préférable. Le voyage s’adresse à des personnes qui cherchent une expérience mémorable.
Altitude
Moins de 1500 mètres
Reykjavik se dévoile doucement, entre façades colorées et lignes nettes, posée entre mer et montagnes. C’est une ville qui ne cherche pas à impressionner, mais qui intrigue. On prend ses marques, on se retrouve, on prépare les sacs. Le groupe se forme, les premiers échanges s’amorcent. L’Islande est déjà là, dans l’air vif, dans la lumière qui glisse sur les toits, dans le calme qui enveloppe la ville. Le soir, on déambule dans les rues, on goûte à cette ambiance nordique, à la fois simple et singulière. Demain, on part. Soirée et diner libre.
Le bus quitte Reykjavik et s’enfonce dans les terres. Peu à peu, l’asphalte cède la place aux pistes, les verts s’effacent devant les noirs. On traverse les coulées de lave figées, les cendres étendues comme des draps sur les anciennes fermes englouties. Le volcan Hekla veille, silhouette massive et silencieuse. On longe les prairies sauvages de Dómadalur, puis le décor bascule : Landmannalaugar surgit, éclatant, irréel. Ici, les roches semblent peintes à la main, les reliefs ondulent comme des vagues figées. On prend le temps d’explorer, de marcher dans ce musée géologique à ciel ouvert. Rhyolites, obsidiennes, basaltes, tufs… chaque pas révèle une nouvelle texture, une nouvelle couleur. L’après-midi, on s’élève dans le massif, on observe les fumerolles, on sent la chaleur sous les pieds. Le soir, on glisse dans les eaux tièdes de la piscine naturelle, là où une rivière chaude rencontre une rivière froide. Première nuit à Landmannalaugar, au cœur des volcans.
On quitte les abords de Landmannalaugar pour s’enfoncer dans un monde minéral, brut, mouvant. Sous les pieds, les coulées de lave s’entrelacent, les rochers se diversifient, les couleurs s’intensifient. Le corps entre dans le rythme. La montée est longue, régulière, sans grande difficulté technique mais exigeante. On grimpe vers les hauts plateaux, là où les montagnes multicolores se mêlent aux fumerolles, aux sources chaudes, aux solfatares. L’effort est constant, les paysages hypnotiques. On atteint le plateau de Hrafntinnusker, vaste territoire perché, dominé par le massif du Torfajökull. Là-haut, le silence est dense, presque lunaire. Puis vient la traversée des ravines de Jökultungur, striées de sources chaudes et de taches colorées, comme des éclats de peinture sur une toile austère. Le soir, on se pose, le souffle encore un peu court, les jambes pleines, les yeux chargés de contrastes. Nuit sur le plateau austère de Hrafntinnusker.
On quitte les hauteurs du Torfajökull, et avec elles, les teintes minérales. Le blanc des glaciers Myrdalsjökull et Eyjafjallajökull apparaît à l’horizon, comme une promesse. Le relief s’adoucit, le vert revient, les formes s’arrondissent. Le sentier serpente entre vallons et crêtes, dans une Islande plus paisible, presque pastorale. Le lac d’Alftavatn se dévoile, posé là comme un miroir. Le lac des cygnes, disent les cartes. L’endroit invite au silence, à la pause. On bifurque sur des sentiers parallèles, loin des traces les plus empruntées, pour mieux s’imprégner des nuances du territoire. Petits monts basaltiques, rivières glaciaires, vallées tapissées d’herbes rases : le décor se transforme, doucement. En fin de journée, la vallée de Hvanngil nous accueille. La gorge de l’angélique, dernier souffle végétal avant le désert de Mælifellssandur. Nuit dans ce creux paisible, entre deux mondes.
Le matin, le sentier longe le cône volcanique de Stórasúla, dressé comme un repère dans l’immensité. Puis le vert s’efface, le noir s’installe. On entre dans le désert de Mælifellssandur, vaste étendue de sable volcanique, née des entrailles du Katla et des colères de son cousin Eldgjá. Le sol semble mouvant, les repères s’effacent, le silence s’épaissit. On marche dans un paysage qui défie les sens, entre cendres, boues anciennes et poussières pyroclastiques. À l’horizon, la calotte du Mýrdalsjökull s’impose, 600 kilomètres carrés de glace millénaire. On longe ses abords, on croise des chutes d’eau, des rivières glacées, des creux sculptés. Le sentier plonge ensuite dans la vallée de la Fremri-Emstruá, avant d’atteindre le refuge d’Emstrur. Là, le canyon de la Markarfljót s’ouvre sous nos pas, entaille profonde de plus de 200 mètres dans les anciennes coulées de lave. Le soir, on s’installe, encore imprégnés de cette traversée lunaire.
Le sentier descend doucement vers le ravin de la Fremri-Emstruá, creusé dans les cendres et les laves anciennes. On longe ensuite la vallée du fleuve Markarfljót, large et sinueux, qui guide nos pas vers le sud. Peu à peu, la roche laisse place à la mousse, les teintes sombres aux verts tendres. Les premiers bouleaux nains apparaissent, discrets mais tenaces. Ils annoncent Thórsmörk, les bois de Thór, vallée paisible nichée entre trois volcans. Deux d’entre eux, Eyjafjallajökull et Katla, ont grondé récemment, leurs éruptions sous-glaciaires ayant façonné les paysages de boue et de glace que l’on traverse depuis plusieurs jours. L’arrivée dans la forêt, après tant de minéral, a des airs de renaissance. On ralentit, on respire, on s’imprègne. Dans l’après-midi, le bus nous ramène à Reykjavik. Le retour à la ville se fait en douceur, les corps pleins, les esprits encore ailleurs. Nuit en ville, repas libre.
Dernier jour, dernière respiration. On retrouve Reykjavik, cette capitale à double visage. Moderne dans ses larges avenues pensées pour les voitures, mais presque villageoise dans son centre, avec ses maisons colorées, ses petits musées, ses cafés tranquilles. Tout est à portée de pas. On flâne, on explore, on s’attarde. Pour ceux qui veulent prolonger l’expérience, le guide peut suggérer quelques échappées : sortie en mer pour observer les baleines, baignade dans les eaux laiteuses du Blue Lagoon, snorkeling entre deux continents, kayak de mer… ou simplement s’asseoir et regarder vivre la ville. Repas libres, journée libre, esprit libre.
Aucune date n'est actuellement programmée pour ce voyage. Pour plus d'informations :
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
Cinq nuits sous tente igloo, à deux par tente, avec matelas autogonflants fournis. Le bivouac, c’est l’option idéale pour s’aventurer dans les territoires les plus reculés. Certains campings sont rudimentaires – eau courante et toilettes, rien de plus. D’autres, souvent situés sur la côte, offrent des abris pour les repas, barbecues, blocs sanitaires avec douches (souvent payantes). Une tente collective permet de préparer les repas et de se retrouver.
Une tente individuelle est possible sur demande (trois nuits, selon disponibilité) : supplément de 55?€ par personne. Ce supplément ne couvre pas les en guest house.
Trois nuits à Reykjavík en guest house, en chambre twin avec sanitaires à partager. Ces petites structures, souvent familiales, sont proches des axes principaux. Elles proposent un service proche de l’hôtellerie classique, avec petit déjeuner inclus, Wi-Fi gratuit et parfois restauration. Les chambres disposent de sanitaires partagés ou privatifs selon les établissements.
Itinérant
de 5 à 6h d'activité par jour en moyenne ou un dénivelé moyen de 500 à 800m
Bien choisir le niveau de votre voyage
5 jours de marche.
Ce voyage suit le Laugavegur, l’un des sentiers les plus emblématiques d’Islande. Balisé, oui, mais jamais figé : le guide ouvre des échappées, s’écarte du tracé dès que le terrain ou la météo le permettent. On s’offre alors notre propre version du Laugavegur trekking, au rythme du groupe et des éléments.
Le portage est réduit à l’essentiel : un petit sac pour la journée, avec polaire, vêtement de pluie, gourde, pique-nique, thermos, appareil photo. Le reste vous attend chaque soir.
Le terrain est brut, varié, parfois instable : sable volcanique, mousses épaisses, roches, coulées de lave, gués à franchir. Peu de dénivelé, mais des pentes franches, sans lacets pour adoucir la montée. Ici, pas de sentiers aménagés : on marche libre, mais toujours à l’écoute du guide.
L’altitude ne pose pas de problème, mais l’effort reste réel. Il faut être prêt à marcher dans des conditions parfois rudes, et à accueillir l’imprévu.
La météo islandaise est joueuse. Elle change vite, souvent, et peut transformer l’ambiance en quelques minutes. Soleil, pluie, vent, froid : tout peut s’inviter dans une même journée.
Respecter la liste d’équipement est essentiel. Elle vous protège, vous soutient, vous permet de rester en mouvement. Vêtements chauds et coupe-vent efficaces, matières synthétiques qui sèchent vite, chaussures bien imperméabilisées : chaque détail compte.
Cinq nuits sous tente igloo, à deux par tente, avec matelas autogonflants fournis. Le bivouac, c’est l’option idéale pour s’aventurer dans les territoires les plus reculés. Certains campings sont rudimentaires – eau courante et toilettes, rien de plus. D’autres, souvent situés sur la côte, offrent des abris pour les repas, barbecues, blocs sanitaires avec douches (souvent payantes). Une tente collective permet de préparer les repas et de se retrouver.
Une tente individuelle est possible sur demande (trois nuits, selon disponibilité) : supplément de 55?€ par personne. Ce supplément ne couvre pas les en guest house.
Trois nuits à Reykjavík en guest house, en chambre twin avec sanitaires à partager. Ces petites structures, souvent familiales, sont proches des axes principaux. Elles proposent un service proche de l’hôtellerie classique, avec petit déjeuner inclus, Wi-Fi gratuit et parfois restauration. Les chambres disposent de sanitaires partagés ou privatifs selon les établissements.
Chaque jour, le corps se dépense, et chaque soir, il se régale. Les repas sont préparés sous la conduite du guide, pris en commun sous la tente mess : plats chauds, copieux, nourrissants. Le midi, on pique-nique dehors, au rythme de la marche et des paysages.
L’Islande offre une cuisine simple et fraîche : poisson du jour, viande d’agneau, produits laitiers de qualité. Sous serre, les Islandais cultivent tomates, poivrons, concombres, laitues, champignons… Les pommes de terre sont fermes, les carottes parfumées, souvent sans traitement.
Les petits déjeuners sont également chauds et pris ensemble.
Important : pensez à nous signaler toute allergie avant le départ.
Un accompagnateur islandais, francophone et anglophone, guide le groupe sur les sentiers et orchestre les repas avec l’aide de chacun. Il connaît le terrain, les caprices du ciel, les détours qui valent le pas.
Un chauffeur assure la logistique et transporte les bagages. Discret mais essentiel, il permet au groupe de rester en mouvement, léger.
Pour faciliter la manutention et le transport dans la soute ou la remorque du véhicule, les valises rigides sont à proscrire. Préférez un sac souple, résistant, qui ne craint ni la pluie ni le sable. À l’intérieur, protégez vos affaires avec des sacs plastiques solides, notamment les vêtements et le sac de couchage.
Évitez d’y entreposer du matériel fragile (appareil photo, etc.) pendant les journées de marche : les secousses liées à l’état des pistes ou à la manipulation des sacs peuvent les endommager. Si vous ne souhaitez pas les porter avec vous, confiez-les directement au guide ou au chauffeur, en les isolant dans un contenant à part.
Attention : en cas de non-respect de ces consignes, ni le guide, ni le chauffeur, ni aucun membre de l’équipe ne pourra être tenu responsable des éventuels dommages.
Vols réguliers.
Le réseau mobile progresse chaque année, mais certaines zones restent sans couverture. Sur la côte et le long de la route numéro 1, le signal GSM est généralement bon. Dans les villages et agglomérations, on capte la 4G ou la 5G.
Pour recharger vos appareils électroniques, les possibilités sont limitées. Sur le tour de l’île, certains refuges proposent un service de recharge, parfois payant, mais il ne faut pas compter dessus dans les hautes terres.
Prévoyez des batteries de rechange : elles vous permettront de rester autonome, même loin de tout.
Lors des journées de marche, il n’y a pas de toilettes sur notre trajet.
Bagages
Vous devez répartir vos affaires dans deux sacs : un sac à dos et un sac de voyage souple.
Le sac à dos (environ 40 litres) vous accompagne en journée. Il contient vos affaires personnelles, vos objets fragiles (appareil photo…), vos médicaments et tout ce qui doit rester à portée de main. Il fait aussi office de bagage cabine lors des vols. Poids limité à 10 kilos en vol international, 6 kilos en vol domestique.
Le sac de voyage souple, transporté par véhicule, vous attend chaque soir. Il doit être robuste, peu sensible à l’humidité et à la poussière. Évitez les valises rigides : elles compliquent la manutention et le stockage. Protégez vos affaires à l’intérieur avec des sacs plastiques solides.
Ne laissez pas d’objets fragiles dans votre sac principal pendant la journée : les pistes secouent, les manipulations aussi. Si vous ne souhaitez pas les porter, confiez-les à part au guide ou au chauffeur. Attention : en cas de dommage, aucune responsabilité ne pourra être engagée.
Avant le départ, vous recevrez des étiquettes pour identifier vos bagages. Le poids autorisé en soute vous sera précisé sur votre convocation.
En cabine : ce qu’il faut savoir
Les contrôles de sécurité sont stricts. Rangez couteaux, ciseaux, limes à ongles dans votre sac de soute.
Les liquides, gels et pâtes (eau, shampoing, dentifrice, etc.) sont autorisés en cabine uniquement s’ils sont conditionnés dans des flacons de 100 ml maximum, regroupés dans un sachet plastique transparent fermé (environ 20 × 20 cm).
Exceptions :
• Médicaments liquides (insuline, sirops…) avec ordonnance ou attestation nominative.
• Médicaments solides : aucun contrôle.
• Aliments liquides pour bébés : autorisés sans restriction, mais il peut vous être demandé d’en goûter.
Au contrôle, présentez à part votre veste, vos appareils électroniques (ordinateur, appareil photo…), votre sachet de liquides, vos médicaments et aliments pour bébé.
Les achats de liquides en boutique aéroport doivent être placés dans un sac scellé (attention, toutes les boutiques ne le proposent pas). Les achats effectués après le contrôle sont libres, sous réserve des règles douanières et des correspondances.
Il est possible de laisser à Reykjavík un petit bagage contenant des affaires propres pour votre retour. Ce sac sera entreposé dans les locaux de notre correspondant local.
Le climat islandais est imprévisible. Il exige un équipement performant, pensé pour le mouvement, la pause, le vent, la pluie. Un vêtement inadapté peut gâcher l’expérience : le froid fatigue, empêche de récupérer, freine l’élan. Et dans un groupe, le rythme se partage.
La règle d’or : des vêtements qui sèchent vite.
Les règles numéro un, deux et trois : pas de coton. Ni t-shirt, ni jeans. Le coton absorbe l’humidité et met des heures à sécher. Préférez la laine, la soie ou les fibres synthétiques : elles gardent la chaleur et vous gardent en mouvement.
Pensez à vous couvrir avant d’avoir froid. Les vêtements ne produisent pas de chaleur, ils conservent celle que vous leur donnez.
À prévoir :
• Un bonnet épais, doublé sur les oreilles, et un plus léger pour l’effort.
• Une casquette et un foulard type cache-col, utile aussi pour les oreilles ou la tête.
• Des gants ou moufles en laine, et une paire plus légère pour marcher. Le vent peut transformer +5?°C en -12?°C.
• Des t-shirts respirants (1 pour 2 à 3 jours), en Capilene, Dryflo, Light Effect…
• Un sous-pull ou une chemise à manches longues (matière respirante).
• Un gros pull de laine ou une veste rembourrée compacte pour le soir.
• Une polaire épaisse.
• Une veste imperméable et respirante type Gore-tex : indispensable.
• Un pantalon de randonnée léger, idéalement convertible en short.
• Un pantalon souple pour le soir.
• Un surpantalon imperméable et respirant type Gore-tex : aussi indispensable.
• Une cape de pluie, uniquement si elle est fermée sur les côtés et dotée d’un cordon de serrage.
• Un maillot de bain.
• Des chaussettes de marche (1 paire pour 2 à 3 jours), en laine ou Coolmax. Évitez le coton.
• Une paire de chaussures de randonnée solides, imperméables, avec maintien de cheville. Modèle cuir avec semelle Vibram et pare-pierres recommandé. Cirez-les bien. Pensez à les « casser » avant le départ et à emporter des lacets de rechange.
• Une paire de chaussures en néoprène pour les gués (chaussons de planche à voile ou chaussettes néoprène avec semelle). Les sandales peuvent convenir si elles tiennent bien au pied, mais ne protègent pas du froid.
• Une paire de guêtres (facultatif).
• Une paire de chaussures détente pour le soir.
L’Islande demande un équipement fiable, pensé pour durer, résister, accompagner. Chaque objet compte, chaque détail peut faire la différence.
Voici ce qu’il faut emporter :
• Une paire de lunettes de soleil de très bonne qualité.
• Une paire de bâtons télescopiques : fortement recommandés. Ils facilitent les montées, les descentes, les traversées de rivières, et surtout, ils préservent vos articulations sur les terrains irréguliers.
• Une gourde (minimum un litre).
• Une lampe frontale (à partir du mois d’août).
• Un couteau de poche (à glisser dans le bagage en soute).
• Une petite pochette étanche pour vos papiers et votre argent.
• Un nécessaire de toilette, avec des produits biodégradables.
• Une serviette à séchage rapide (type Packtowl de MSR).
• Des boules Quies : recommandées pour bien récupérer la nuit.
• Une crème solaire et un stick à lèvres.
• Une paire de jumelles pour observer les oiseaux (facultatif).
• Un nécessaire de couture.
• Du ruban adhésif type Duct Tape : imperméable, souple, très adhésif. Idéal pour les réparations de fortune (chaussures, vêtements, lunettes…). Conseil : enroulez-en autour d’un bâton ou d’un crayon pour l’avoir toujours sous la main.
Un bon sommeil, c’est la clé pour repartir chaque matin avec entrain. Prévoyez un sac de couchage avec une température de confort comprise entre -5 et -10?°C.
Le duvet est plus compact que la fibre synthétique, mais il demande un emballage irréprochable : glissez-le dans un sac plastique solide à l’intérieur de sa housse de compression, et ajoutez une ou deux protections extérieures. Le duvet est un matériau naturel, sensible à l’humidité, et putrescible.
Les sacs en fibres synthétiques perdent en efficacité avec le temps. Un drap de sac en soie ou en polaire peut compenser cette perte de chaleur.
Pensez à votre couchage comme à un cocon : léger, isolant, bien protégé. Il vous accompagnera dans les nuits fraîches des hautes terres.
• Vos médicaments habituels
• Médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
• Bande adhésive élastique (type Elastoplast, en 6 cm de large)
• Jeux de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
• Double peau (SOS Ampoules de marque Spenco, disponible en magasins de sport, en pharmacie, parapharmacie...)
• Une boîte de masques chirurgicaux ou ffp2 pour l'avion et les espaces où il est imposé
• Du gel hydroalcoolique
Une trousse de premiers secours, fournie par l'agence et adaptée à votre voyage, est placée sous la responsabilité de votre accompagnateur.
Carte nationale d´identité ou passeport, valides pour toute la durée du séjour, pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Si vous voyagez avec vos enfants, sachez que, dorénavant, les mineurs, quel que soit leur âge, doivent eux aussi avoir un passeport individuel. La législation française stipule que les mineurs voyageant avec leurs deux parents, ou un seul des deux, n'ont pas besoin d'être en possession d'une autorisation de sortie du territoire. En revanche, ce document est obligatoire (depuis le 15 janvier 2017) si cette condition d'accompagnement n'est pas remplie. Dans ce dernier cas, l'enfant devra présenter : passeport (ou carte d'identité, selon les exigences du pays de destination) ; le formulaire d’autorisation de sortie du territoire, signé par l'un des parents titulaires de l'autorité parentale (le formulaire d’autorisation de sortie du territoire est accessible sur le site www.service-public.fr) ; une photocopie du titre d'identité du parent signataire.
Lorsqu’un mineur voyage avec l’un de ses parents dont il ne porte pas le nom, il est fortement conseillé soit de pouvoir prouver la filiation (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F15392), soit de présenter une autorisation de sortie du territoire (formulaire Cerfa n° 15646*01) dûment remplie et signée par l’autre parent avec copie de sa pièce d’identité. Cette autorisation ne dispense pas de l’accomplissement de toute autre formalité spécifique à la destination concernant les mineurs.
Depuis le 1er janvier 2014, les cartes nationales d’identité sécurisées françaises délivrées à des majeurs entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 ont automatiquement une durée de validité étendue de 5 ans, sans modification matérielle du titre. Ainsi, la carte d’une personne majeure au moment de la délivrance portant comme date de fin de validité le 23 avril 2014 sera en réalité valable jusqu’au 23 avril 2019. De façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage (les autorités islandaises n'ayant pas précisé leur position quant à cette mesure), il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité.
Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité, vous pourrez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles en allant à l'adresse suivante : http://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-islande.pdf
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Pas de visa requis pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Comme toujours et partout, il est important d’être protégé contre diphtérie, tétanos, coqueluche (dont la réapparition chez les adultes, même en France, justifie la vaccination pour tout voyage), poliomyélite, hépatites A et B.
Si, comme dans tous les pays d'Europe, le voyageur n'est pas exposé aux risques sanitaires « exotiques », les risques comportementaux ou environnementaux peuvent être les mêmes qu'ailleurs.
Les infrastructures sanitaires sont, bien sûr, satisfaisantes partout, mais le coût des soins dans certaines structures privées réclame que l’on vérifie toutes les clauses du contrat d´assurance-assistance souscrit avant le départ.
L’Islande n’est pas ce pays glacé qu’on imagine parfois. Malgré sa position aux portes du cercle polaire, elle bénéficie de l’influence du Gulf Stream, qui adoucit les côtes sud, ouest et nord-ouest. Le climat y est océanique tempéré : hivers relativement doux, étés frais. À Reykjavík, les températures oscillent entre 0?°C en janvier et 12?°C en juillet.
À l’est et au nord-est, le courant polaire du Groenland abaisse légèrement les températures. Seul l’intérieur des terres peut connaître des froids plus mordants, jusqu’à -15?°C.
Les pluies sont plus fréquentes au sud qu’au nord. Le vent, lui, est omniprésent, parfois violent.
Mais la vraie signature du climat islandais, c’est son instabilité. « Si vous n’aimez pas le temps qu’il fait, attendez une minute… » dit-on ici.
La lumière aussi joue sa propre partition. Pas de nuit polaire, mais des journées courtes en hiver (de 10 heures à 16 heures environ entre décembre et février), et une quasi-lumière permanente de mai à mi-août. Juin offre des clartés magnifiques et un jour sans fin.
Les aurores boréales apparaissent dès septembre, culminent en décembre et janvier.
Pour suivre la météo, l’activité sismique ou le niveau des rivières, le site https://www.vedur.is propose des informations détaillées, en islandais et en anglais.
Les territoires que vous traversez sont vivants, mais fragiles. L’Islande est une terre pré-arctique, où la végétation pousse lentement, portée par des étés courts et frais. Certaines mousses, comme la philonotis, ne supportent pas le piétinement. Quand un sentier existe, empruntez-le. Quand il n’y en a pas, choisissez le sol le moins vulnérable.
On ramène tous nos déchets. Même si certains lieux sont déjà marqués par des détritus, on ne laisse rien derrière : papiers, mouchoirs, mégots… Les déchets organiques aussi (trognons, pelures) doivent être jetés : ici, la décomposition est lente, faute de bactéries.
Ne cueillez pas de fleurs, ne ramassez pas de pierres dans les réserves naturelles, parcs nationaux ou zones protégées. Et même ailleurs, abstenez-vous. L’Islande tout entière mérite le respect qu’on accorde à une réserve.
Dans le doute, demandez conseil à votre guide. Il connaît les lieux, leurs règles, leur rythme.
Marcher en pleine nature, c’est aussi marcher avec elle.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus www.insolitesbatisseurs.org
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Retrouvez nos guides de voyage sur notre site de la librairie polaire
Pour 100 € payés sur ce voyage :
Notre approche :
Nous pensons qu’il est important que chaque voyageur soit informé de la décomposition du prix de nos voyages. Nous partageons ici cette information. Elle correspond à la moyenne observée ces 3 dernières années des coûts de tous les voyages de même catégorie (voyage en groupe, voyage en famille, voyage liberté, voyage sur mesure ou croisière) dans cette destination.
Les paysages sont impressionnants et d'une grande variété. Un grand merci à notre guide Mathieu, expert, passionné et cultivé. Grâce à lui, nous avons emprunté des sentiers splendides où nous étions seuls. Avec lui, l'organisation était parfaite, tout roulait ! Il est par ailleurs un excellent cuisinier. Merci également à Stinn, qui a assuré le transport logistique, pour sa gentillesse. Nous étions un groupe de 6, notre famille de 4, et un couple très sympathique, toujours dans l'humour et la bonne humeur. Bref, l'ambiance du groupe était excellente. Pour finir, la liste du matériel est parfaite, ce qui permet de randonner joyeusement quelles que soient les conditions météo. Nicolas
Superbe voyage, merci à toute l'équipe. Je rêvais de voyager en Islande et je n'ai pas été déçu. Quel voyage ! Quels paysages fantastiques ! Ce trek du Laugavegur est incroyable, des paysages variés à couper le souffle. Et grâce à notre guide nous avons pu éviter les sentiers balisés pour nous aventurer dans des endroits moins fréquentés. Les conseils de l'agence pour les équipements ont été très précis. Nous avons eu une météo clémente (que quelques heures de pluit), nous avons donc pu apprécier des points de vue fantastiques. Les repas du soir, préparés par le guide, étaient copieux et très bon
Le guide Tristan est vraiment TB et connaît à merveille son pays. Le groupe était très sympathique et Tristan a tout fait pour y mettre une bonne harmonie avec diplomatie pour attendre les plus "lents" et ralentir les plus "rapides". Les paysages superbes et nuits sous tentes très agréables avec une météo à 98% méditerranéenne ! Les repas étaient copieux et très bien cuisinés. Rien à dire en dehors de "allez-y les yeux fermés !"
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