Peu d'endroits sont comparables à la Géorgie du Sud en matière de faune abondante et de paysages époustouflants. Au cours de ce voyage, vous pourrez observer des colonies d'albatros hurleurs, ainsi que certains des plus grands sites de reproduction de manchots royaux et d'éléphants de mer de la planète, tout en admirant jour après jour d'incroyables paysages polaires.
Les niveaux du voyage
Niveau physique
Aucun niveau n’est requis, mais la navigation s’effectue sur une mer qui peut être agitée avec 1 à 2 nuits en pleine mer.
Engagement
Ce voyage ne présente pas d'engagement particulier. Les conditions du voyage sur les plans du confort, du rythme, de la technicité et de la nourriture sont idéales et à la portée de tous.
Altitude
Moins de 1500 mètres
Ces tarifs sont valables pour des départs de Paris. Des départs d'autres villes sont possibles, n'hésitez pas à nous en faire la demande. Les prix indiqués ne sont valables que pour certaines classes de réservation sur les compagnies aériennes qui desservent cette destination. Ils sont donc susceptibles d'être modifiés en cas d'indisponibilité de places dans ces classes au moment de la réservation.
Le prix affiché indique celui d'une place en cabine quadruple à partager.
Prix par personne (Paris/Paris) selon la catégorie de cabine choisie :
Saison 2025-2026
Départ du 11/11/2025 au 28/11/2025
Cabine quadruple avec hublot : 10 900 € - Dernière cabine !
Cabine double avec hublot : 11 900 €
Cabine double avec fenêtre : 12 900 €
Cabine supérieure : 13 900 € - Dernière cabine !
**
Il est possible de s'inscrire en cabine partagée avec d'autres passagers (cabine homme ou cabine femme), sauf pour les cabines de catégories supérieures et suites.
*
Supplément cabine individuelle : Nous consulter.
Envie de partir en famille ou avec vos amis aux dates que vous souhaitez ?
Le M/V Plancius a été construit en 1976, pour servir en tant que navire de recherche océanographique à l’usage de la Marine royale hollandaise. Depuis décembre 2006, il a été entièrement réaménagé de façon à pouvoir offrir des navigations expéditions en région polaire.
Capacité : 108 passagers.
Equipage : 40 membres d’équipage, 1 chef d’expédition, 7 guides et 1 médecin.
L'équipage, le personnel de cabine et d'hôtellerie sont tous anglophones.
Catégories de cabine :
- Cabines quadruples, hublot avec 2x2 couchettes superposées (15m² - pont 2)
- Cabines doubles hublot avec 2 lits bas (15m² - pont 3)
- Cabines doubles fenêtre avec 2 lits bas (15m² - pont 4).
- Cabines doubles Deluxe, 2 fenêtres avec 2 lits bas (15m² - pont 4)
- Cabines supérieures, 2 fenêtres avec 1 lit double et 1 sofa (21m² - ponts 5 et 6)
Toutes les cabines possèdent une salle de bain privée et une vue extérieure (fenêtre ou hublot). Ce hublot peut être obstrué ou fermé, en cas de mauvais temps ou pour des raisons de sécurité.
La literie et le linge de toilette sont fournis. Shampoing, gel douche, et sèche-cheveux sont à disposition dans votre cabine. Possibilité de donner du linge à laver (service payant).
Prises électriques européennes. Coffre-fort (vous pouvez aussi déposer vos objets personnels dans le coffre-fort du directeur d'hôtellerie).
A bord, la vie est conviviale dans l’esprit des bateaux d’expédition, loin des soirées de gala et des décors des grands paquebots de croisière. Le bar et le salon d'observation, lieux de rencontres et de discussions quasi interminables, sont ouverts en permanence. Les ponts extérieurs offrent une vue imprenable sur les alentours et l’accès à la passerelle est autorisé à condition de ne pas perturber les officiers de quart.
La taille réduite donne une grande souplesse d’organisation des journées. Lors des navigations, des conférences sur des sujets liés aux pôles (faune, glaces, histoire, géologie, etc.) sont organisées. La priorité reste l'observation de la faune et de l'environnement, avec une optimisation des temps de débarquement.
Pour plus d'informations sur le navire et le plan des ponts, consultez sur notre site l'onglet "Bateau".
Itinérant
de 0 à 4h d'activité par jour en moyenne avec un dénivelé moyen pouvant aller jusqu'à 300m
Bien choisir le niveau de votre voyage
De 1 à 108 participants
Le jour de l’embarquement à Ushuaia, vous devez impérativement déposer vos bagages entre 8h00 et 11h30 à l’adresse suivante : Avenida Maipú 1210 (bâtiment situé à environ 350m du quai). Ils seront pris en charge par le personnel de la compagnie maritime, et remis directement dans votre cabine à bord du bateau.
L'embarquement des passagers à bord du navire s'effectue entre 16h00 et 17h00.
Nous insistons sur le caractère "expédition" d’un tel voyage. L'itinéraire sera adapté en fonction des conditions météorologiques, de la situation des glaces et des rencontres avec la vie sauvage, afin de vous offrir la meilleure expérience polaire possible.
Ce séjour permet d'optimiser toutes les observations de la faune subantarctique de la Géorgie du Sud (manchots royaux par milliers, albatros à sourcils noirs, gorfous, harems d'éléphants de mer). Nous en profiterons également pour retourner sur les traces de grands explorateurs polaires tel que Ernest Shackleton.
Des débarquements quotidiens sont organisés en alternance avec un programme de conférences à bord. Les bateaux pneumatiques d’une dizaine de passagers permettent de descendre rapidement à terre. A terre, les passagers peuvent être répartis en plusieurs groupes, chacun d’eux accompagné par un guide.
Un groupe d’aventuriers à bord de ce voyage parcourra une partie de la route historique de Shackleton à travers la Géorgie du Sud en ski. Ils commenceront leur aventure dans la baie du Roi Haakon et seront récupérés quelques jours plus tard dans la baie de Stromness. Une certaine souplesse et flexibilité dans la logistique de cette navigation est nécessaire pour que l'ensemble des passagers puisse profiter pleinement de cette expédition, dans la bienveillance.
Gardez à l'esprit qu'aucun voyage n'est identique. C’est votre voyage, votre aventure.
Le M/V Plancius a été construit en 1976, pour servir en tant que navire de recherche océanographique à l’usage de la Marine royale hollandaise. Depuis décembre 2006, il a été entièrement réaménagé de façon à pouvoir offrir des navigations expéditions en région polaire.
Capacité : 108 passagers.
Equipage : 40 membres d’équipage, 1 chef d’expédition, 7 guides et 1 médecin.
L'équipage, le personnel de cabine et d'hôtellerie sont tous anglophones.
Catégories de cabine :
- Cabines quadruples, hublot avec 2x2 couchettes superposées (15m² - pont 2)
- Cabines doubles hublot avec 2 lits bas (15m² - pont 3)
- Cabines doubles fenêtre avec 2 lits bas (15m² - pont 4).
- Cabines doubles Deluxe, 2 fenêtres avec 2 lits bas (15m² - pont 4)
- Cabines supérieures, 2 fenêtres avec 1 lit double et 1 sofa (21m² - ponts 5 et 6)
Toutes les cabines possèdent une salle de bain privée et une vue extérieure (fenêtre ou hublot). Ce hublot peut être obstrué ou fermé, en cas de mauvais temps ou pour des raisons de sécurité.
La literie et le linge de toilette sont fournis. Shampoing, gel douche, et sèche-cheveux sont à disposition dans votre cabine. Possibilité de donner du linge à laver (service payant).
Prises électriques européennes. Coffre-fort (vous pouvez aussi déposer vos objets personnels dans le coffre-fort du directeur d'hôtellerie).
A bord, la vie est conviviale dans l’esprit des bateaux d’expédition, loin des soirées de gala et des décors des grands paquebots de croisière. Le bar et le salon d'observation, lieux de rencontres et de discussions quasi interminables, sont ouverts en permanence. Les ponts extérieurs offrent une vue imprenable sur les alentours et l’accès à la passerelle est autorisé à condition de ne pas perturber les officiers de quart.
La taille réduite donne une grande souplesse d’organisation des journées. Lors des navigations, des conférences sur des sujets liés aux pôles (faune, glaces, histoire, géologie, etc.) sont organisées. La priorité reste l'observation de la faune et de l'environnement, avec une optimisation des temps de débarquement.
Pour plus d'informations sur le navire et le plan des ponts, consultez sur notre site l'onglet "Bateau".
Le débarquement du navire s'effectue vers 9h00 à Ushuaia.
Pour toute réservation aérienne ce même jour, une marge de temps suffisante est indispensable pour parer à tout retard dû aux conditions climatiques ou de navigation. Prévoir l'arrivée à l'aéroport au minimum 2 heures avant l'heure de décollage.
Pension complète à bord du bateau (hors boissons).
Vous êtes accueillis sur un bateau hollandais. Le chef prépare une cuisine internationale avec des repas copieux et variés. Les repas sont servis dans la salle de restaurant du bateau ; petit déjeuner et déjeuner sous forme de buffet. Pour le dîner, service à table avec choix du plat principal.
Service de bar (en supplément) : Boissons non alcoolisées (jus, sodas), bières et une sélection de vins et de liqueurs. Vous n’êtes pas autorisé à apporter des boissons alcoolisées à bord.
A tout moment, il est possible de se servir gratuitement chocolat, thés, cafés, tisanes, soupes et eau.
Anglophone.
En Argentine, les vols internationaux arrivent pour la plupart à Ezeiza (également appelée Ministro Pistarini) et les vols domestiques repartent le plus souvent de l'aéroport des lignes intérieures, Aeroparque (également appelé Jorge Newbery). Des navettes payantes font la liaison entre les 2 aéroports (environ 15$US le trajet) si vous devez changer d'aéroport.
Seuls 15kg en soute et 5kg en cabine sont autorisés sur les vols intérieurs argentins. Il peut vous être demandé 11€ de 1 à 8 kilos supplémentaires.
Pour les départs de province, prévoir des billets d'avion (ou de train) modifiables et avec une marge de temps suffisante pour parer à tout retard de vols intérieurs, des mauvaises conditions climatiques, grèves ou manifestations bloquant les routes. Les horaires de vols peuvent être modifiés par la compagnie aérienne sans préavis. Prévoir l'arrivée à l'aéroport au minimum 2 heures avant l'heure de décollage.
Nous pouvons nous charger de la réservation de votre acheminement.
La croisière ne présente pas de difficulté physique particulière. De manière générale vous devez être en bonne santé, capable de marcher en terrain accidenté, de vous déplacer sans assistance, d’emprunter des escaliers et l’échelle de coupée, et enjamber les flotteurs des bateaux pneumatiques.
Après votre inscription, un questionnaire de santé à l'attention du médecin de bord vous sera envoyé par email.
- Décalage horaire : Il y a 4h de décalage par rapport à la France pendant l'hiver. Lorsqu’il est 12h à Paris, il est 8h du matin en Argentine.
- Durée du vol : Environ 14h pour un Paris/Buenos Aires et 3h40 pour un Buenos Aires/Ushuaia.
- Courant électrique : Le bateau est équipé de prises européennes (220 volts/50 Hertz).
- Internet : A bord, accès wifi gratuit (1,5 Go de données par jour) qui se réinitialise toutes les 24h. Des bons peuvent être achetés à bord si besoin d'une connexion Internet plus importante.
Vous devez conditionner l’ensemble de vos affaires en 2 sacs : 1 sac à dos et 1 grand sac de voyage souple (préférable à la valise rigide ou semi-rigide).
1 - Le sac à dos :
Sac à dos de randonnée d’une capacité de 25 litres environ, il vous sera utile pour le transport de vos affaires personnelles durant la journée.
Il vous servira aussi en tant que bagage à main lors de vos déplacements pour toutes vos affaires fragiles (appareil photo…), de valeur (lorsque votre hébergement ne dispose pas de coffre-fort) et pour vos éventuels médicaments.
Il sera en cabine lors des transports aériens. Généralement, le poids des bagages cabine est limité à 10 kg par personne.
2 - Le grand sac de voyage :
Il doit contenir le reste de vos affaires.
Il sera en soute lors des transports aériens. Le poids des bagages en soute vous sera indiqué sur votre convocation ou billet.
Nos recommandations si vous prenez l’avion :
Enregistrez en bagage en soute le maximum de choses et ne conservez dans votre bagage à main que ce qui est absolument indispensable à votre voyage.
Equipez-vous pour l'avion de votre tenue de randonnée et prenez vos affaires de première nécessité (en cas de problème d'acheminement de vos bagages).
Merci de noter que les contrôles de sécurité sont devenus très stricts aux aéroports : mettez les couteaux, ciseaux, limes à ongles et piles de rechange dans votre sac de soute.
Quels sont les produits liquides interdits en cabine ?
Les liquides, aérosols, gels et substances pâteuses : eau minérale, parfums, boissons, lotions, crèmes, gels douche, shampoings, mascara, soupes, sirops, dentifrice, savons liquides, déodorants… sauf s’ils sont rangés dans un sac en plastique transparent fermé, d’un format d’environ 20 cm x 20 cm (type sachet de congélation) et qu’ils sont conditionnés dans des flacons ou tubes de 100ml maximum chacun. Un sachet peut contenir plusieurs tubes, flacons,…
Quelles sont les exceptions autorisées en cabine ?
- Les médicaments liquides (insuline, sirops…) : vous pouvez les emporter en cabine à condition de présenter aux agents de sûreté une attestation ou une ordonnance à votre nom. Il n’y a aucune restriction pour les médicaments solides (comprimés et gélules).
- Les aliments liquides pour bébés : il n’y a pas de restriction sur ces produits. Pensez à prendre des contenants qui se referment : il pourra en effet vous être demandé de goûter ces aliments !
Comment se fait le passage du contrôle de sûreté ?
- Retirez votre veste ou votre manteau.
- Présentez à part :
- Tous vos grands appareils électriques : ordinateur portable, gros appareil photo numérique, lecteur DVD…
- Votre sac plastique transparent contenant vos flacons et tubes.
- Vos médicaments accompagnés d’une ordonnance ou d’une attestation.
- Vos aliments liquides pour bébé.
- Vos achats réalisés dans les boutiques des aéroports doivent être mis sous sac plastique scellé mais toutes les boutiques ne proposent pas ce sac : renseignez-vous avant de faire vos achats.
- Les achats de liquides réalisés après le contrôle de sûreté s’effectuent librement sous réserve des limitations douanières ; attention cependant aux correspondances : renseignez-vous avant tout achat.
Nous vous recommandons de voyager avec des bagages souples qui se rangent plus facilement dans les cabines.
Prévoir de prendre avec vous, dans votre bagage en cabine : Vos médicaments, une polaire, veste et pantalon imperméables, dans le cas où ces bagages auraient du retard ou seraient égarés.
Le choix vestimentaire pour les climats froids demeure très personnel. Il dépend de votre adaptabilité et de votre sensibilité au froid. Pour votre confort et sécurité, évitez d’être mouillé (que ce soit par la transpiration, la pluie, des bottes inadaptées ou des embruns). Apportez des vêtements protégeant de l’eau et du vent. Evitez les vêtements trop serrés qui ne laissent plus de place pour l’air : l’air est un très bon isolant thermique. La laine, la soie et quelques fibres synthétiques comme la fibre polaire retiennent mieux la chaleur que le coton. Pour la veste et le pantalon, le Gore-tex et les tissus similaires sont résistants à l’eau et respirants.
Le secret pour rester bien couvert est le "principe des 3 couches". Autrement dit, il vaut mieux porter plusieurs couches légères qu’une seule importante : vous pouvez enlever une de ces couches si vous avez trop chaud ou en remettre une si vous avez froid.
La couche la plus importante est l’externe, qui doit être résistante à l’eau et au vent car un petit vent de 6 km/h peut entraîner une déperdition de chaleur huit fois plus importante que sans vent. Un dicton habituel en région polaire : "Il n’y a rien d’aussi mauvais que le mauvais temps, sauf d’être mal habillé !".
La chaleur corporelle est plus facilement perdue par les parties du corps qui ont beaucoup de surface mais peu de masse : les extrémités. Gardez-les à la chaleur et au sec.
Si le reste de votre corps est couvert, vous pouvez néanmoins perdre 90% de la chaleur par la tête. Assurez-vous de porter un bonnet, un passe-montagne ou une cagoule. Ils peuvent être abaissés afin de protéger vos oreilles, le front, le cou et le menton.
Lorsque vous préparez votre sac, n’emportez pas trop de vêtements ou d’équipements. Sélectionnez ce qui est essentiel pour votre voyage, incluant :
- Une veste imperméable munie d’une capuche. Cette veste est la couche de vêtements la plus importante pour se protéger de la pluie et du vent.
- Les doudounes molletonnées fines et légères, vestes ou sweat-shirts en polaire sont idéaux à porter sous votre veste imperméable, par-dessus un sous-vêtement plus près du corps.
- Sous-vêtements thermiques manches longues, en fibre synthétique ou naturelle.
- Un pantalon ou surpantalon imperméable est indispensable pour les sorties en bateau pneumatique : il gardera votre sous-couche au sec et au chaud.
- Un pantalon chaud et robuste à porter en dessous du pantalon imperméable (type pantalon de randonnée, jogging, legging polaire)
- Jeans ou pantalons classiques pour la vie à bord du bateau.
- Moufles et gants. Garder ses mains au chaud et au sec est important. Des gants fins en polaire, en laine mérinos, ou des sous-gants en soie peuvent être portés sous des moufles. Vous pourrez ainsi retirer les moufles lorsque vous prenez des photos, et rester protégé du froid.
- Un bonnet chaud et un cache cou (nous déconseillons les écharpes pour des raisons de sécurité à bord des bateaux pneumatiques).
- Des chaussettes robustes, de grandes chaussettes en laine sur une paire plus fine en polypropylène ou coton/laine pour l’isolation des pieds.
- Pour la vie à bord, nous vous conseillons des chaussures confortables et rapides à enfiler (de type baskets).
- Une paire de bottes en caoutchouc antidérapantes couvrant le mollet est essentielle pour les accostages : vous pouvez descendre du bateau pneumatique dans des endroits où il y a jusqu’à plusieurs centimètres d’eau glacée. Ces bottes sont prêtées gratuitement à bord du bateau. Votre pointure vous sera demandée avant votre départ. Bottes disponibles à partir de la taille 34 (sous réserve).
- Un sac à dos avec protection étanche de 25L pour les débarquements
- De bonnes jumelles pour observer la faune (type 8×32, 8x42 ou 10×42)
- Des lunettes de soleil (haute qualité) et la crème solaire (notez que la réverbération sur l’eau et la neige/glace peut pénétrer même si le ciel est couvert)
- Uniquement si vous en avez l’habitude, prenez vos bâtons télescopiques de marche (les embouts en
plastique protégeant les pointes sont obligatoires pour préserver l’environnement fragile de la région)
- Des bouchons d’oreilles si vous êtes sensibles aux « petits bruits » la nuit.
Conseils photographiques
On est très souvent étonné par le nombre de photos prises, prévoyez donc des cartes mémoires en conséquence ! Il faut savoir qu’avec le froid, les batteries se déchargent rapidement, prévoyez un jeu de batterie supplémentaire pour ne pas être bloqué en pleine action ! Quant aux embruns, ils endommagent beaucoup les appareils.
La mer peut parfois être très agitée dans ces zones. Si vous êtes sensibles au mal de mer, rapprochez-vous de votre médecin généraliste avant le départ.
Important : formalité entrée Géorgie du Sud
A compter du 1er août 2025, tous les visiteurs souhaitant se rendre en Géorgie du Sud devront obligatoirement obtenir un permis de visite délivré par les autorités britanniques de Géorgie du Sud avant leur départ.
La compagnie maritime se chargera de faire la demande pour l'ensemble des passagers.
Formalités médicales :
Un questionnaire d’informations personnelles et médicales à remplir en ligne est demandé par la compagnie maritime, celui-ci devra être complété au plus tard 1 mois avant votre départ. Notre équipe vous fera parvenir un lien vers votre formulaire par email.
Malouines : passeport en cours de validité, billet de retour et attestation d’hébergement, pour les ressortissants français, belges et suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Afin de parer à toute éventualité, on veillera à disposer d’un passeport comportant le nombre de pages vierges requis ou suffisant (généralement 3, dont 2 en vis-à-vis).
De nouvelles mesures de sécurité sont entrées en vigueur dans les aéroports : les appareils électroniques (smartphones, tablettes, portables…) doivent être chargés et en état de fonctionnement pour tous les vols allant ou passant par les Etats-Unis et Londres. Les agents de contrôle doivent pouvoir les allumer. Par précaution, ayez votre chargeur à portée de main. Si votre appareil est déchargé ou défectueux, il sera confisqué. Cette mesure étant susceptible d’être étendue à d’autres aéroports, nous vous conseillons de charger vos appareils électroniques avant le vol quelle que soit votre destination.
Malouines : pas de visa requis pour les ressortissants français, belges ou suisses. Pour les autres nationalités, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans vos démarches.
Pas de vaccin obligatoire, sauf contre la fièvre jaune pour les voyageurs en provenance de pays d'Afrique subsaharienne et d'Amérique latine où la maladie est présente.
Comme partout, il est important d’être à jour des rappels DTCPolio.
Hépatite A : maladie d’origine alimentaire dont l’immunité peut être acquise soit par vaccination, soit, chez les voyageurs habituels, par contact muet avec le virus (vérification simple par recherche d’anticorps protecteurs).
Les voyages dans les îles australes britanniques s’effectuant en général en bateau de croisière, donc en milieu fermé où les risques contagieux sont majorés, on peut envisager une vaccination antigrippe.
Absent.
Il n’y en a guère, depuis les récentes campagnes (surtout en Géorgie du Sud) d’éradication des colonies de rats amenés par les baleiniers lors de leurs escales. D’autant que ces rongeurs menaçaient plus les oiseaux et leurs œufs que les voyageurs…
Rappelez-vous que, dans l'hémisphère Sud, les saisons sont inversées par rapport à celles de l'hémisphère Nord.
L'été (octobre à février-mars), avec des températures douces et des jours longs, est la saison la plus indiquée pour la Patagonie et les Andes méridionales (le sud de cette zone, au cœur des cinquantièmes hurlants, est toutefois le domaine du vent et marqué par une grande variabilité : soleil ou flocons et températures en montagnes russes entre 2° et 22°).
L'hiver (juin à août) est recommandé pour voyager dans le nord et le nord-ouest, car les pluies sont alors moins fréquentes et les températures tropicales descendent de quelques degrés.
Le printemps et l'automne sont magnifiques à Buenos Aires.
Les stations baleinières
La Géorgie du Sud aurait été découverte par le Florentin Américo Vespucci en 1502 mais la première exploration de l’île est conduite par le capitaine James Cook. Il atterrit près des îles Willis en janvier 1775, à bord du bateau "Resolution". James Cook va rédiger de nombreux rapports de ses voyages relatant l’abondance des éléphants de mer et des otaries à fourrure, ce qui va attirer la convoitise des pêcheurs phoquiers.
L’exploitation commerciale de la Géorgie du Sud va donc d’abord être conduite par des pêcheurs poussés par une demande en huile d’éclairage de plus en plus forte et une grosse demande en fourrure. L’époque de la chasse aux phoques dure environ 130 ans. Lorsque les espèces sont pratiquement exterminées, les sociétés de pêche se tournent alors vers une autre espèce de mammifères marins : la baleine. L’industrie baleinière (1904 à 1965) se développe de façon considérable en Géorgie du Sud (l’une des chasses aux mammifères marins les plus importantes au monde) et les stations de dépeçage à terre sont dirigées par un personnel en majorité norvégien. A partir de 1904 de véritables villes se créent, complètement autonomes, accueillant plus de 1000 personnes par base durant la saison de chasse et tous les corps de métier étaient représentés.
Dans les années 1930/31, 41 bateaux usines opèrent en mer, leur donnant un grand avantage sur les stations terrestres, lorsque la baleine devient plus rare et les lieux de chasse de plus en plus loin des côtes. Par contre, les stations terrestres ont l’avantage d’être bien équipées en ateliers de réparation et pièces de rechange. L’essentiel des baleines capturées étaient des cachalots (Sperm Whale), des rorquals communs (Finn Whale) et des rorquals boréals (Sei Whale). Les baleines à bosse (Humpback Whale) sont les premières à disparaître, très convoitées car elles se déplacent lentement et sont peu farouches.
A la fermeture des bases, il était beaucoup trop cher de rapatrier tout le matériel qui offrait aux visiteurs un immense supermarché du bricolage gratuit. Des portes ont été forcées, des volets arrachés. La neige s’est engouffrée et la pluie a continué son travail de destruction, si bien que des pans entiers de murs se sont effondrés donnant un aspect sinistre aux villes fantômes. Actuellement les bâtisses sont en cours de démontage et les sites évacués. Il est strictement interdit de pénétrer à l’intérieur des bâtiments.
L’épopée de Sir Ernest Shackleton
Sir Ernest Shackleton arrive en mer de Weddell, en février 1915, à bord de l’Endurance, dans l’espoir de débarquer des hommes sur le continent antarctique pour tenter une traversée du continent en traîneau pour rallier le pôle Sud et la mer de Ross. Mais le bateau est bloqué par la banquise et dérive avant d’être broyé par les glaces en octobre 1915. L’équipage doit abandonner le navire et entreprendre une longue traversée sur la mer gelée, avec des traîneaux à chiens et deux canots. La progression est lente, difficile avant d’atteindre l’île Elephant (Shetland du Sud) en avril 1916.
Les rescapés trouvent un emplacement propice à un campement sur l’île, au cap Wild, Shackleton décide de partir chercher des secours en Géorgie du Sud, aux stations baleinières, à bord du James Caird, canot de 6,75 mètres. Durant la traversée de 17 jours, le mauvais temps oblige les hommes à une corvée de pompage quasi ininterrompue. La tempête est permanente et les bourrasques de neige couvrent régulièrement le canot.
Les 6 hommes atteignent King Haakon Bay, très affaiblis. Après 2 journées de récupération, Shackleton décide de rejoindre Stromness, la plus proche station, de l’autre côté de l’île. Mais l’intérieur de l’île est hérissée de hautes montagnes qui culminent à plus de 2800 mètres où personne ne s’est jamais aventuré. Ils marchent sans discontinuer durant 36 heures pour rejoindre la station baleinière de Stromness où ils trouvent du secours. Quant aux hommes restés sur l'île Elephant, ce n’est qu’après la troisième tentative qu'ils seront secourus par le vapeur chilien Yelcho.
Sir Ernest Shackleton décède à bord du bateau Quest, à King Edward cove (Géorgie du sud), le 5 janvier 1922.
Un partenariat et une collaboration de confiance depuis plus de 20 ans
En tant que pionnier des expéditions polaires, notre partenaire est l’un des premiers membres des associations AECO (Association of Arctic Expedition Cruise Operators) et IAATO (International Association of Antarctica Tour Operators), regroupant les organisateurs de croisières d'expéditions dans l'Arctique et l’Antarctique. La compagnie ne s'engage pas seulement à suivre les directives de ces deux associations et à respecter les règles de conduite des visiteurs pour la préservation de l'environnement et la sécurité à destination, elle a aussi longtemps été directement impliquée dans la définition des codes de conduites dans les eaux polaires en tant que membre du comité exécutif de ces deux organisations.
Promouvoir la recherche scientifique et sensibiliser à la protection de l’environnement et des mondes polaires
Depuis 1993, la compagnie s'engage auprès de la communauté scientifique, et soutient notamment le travail des chercheurs qui étudient les espèces envahissantes non indigènes dans les régions polaires, les carottes de glace, les fluctuations météorologiques et les concentrations de CO2 afin de faire progresser nos connaissances sur le changement climatique, ses effets et la façon dont nous pouvons réduire (ou peut-être même inverser) son impact dévastateur.
Elle invite ainsi des scientifiques à mener des travaux de recherches sur ses navires, et contribue à fournir des équipements spécifiques, tels que des flotteurs ARGO, qui mesurent la température, la salinité et la pression de l’eau pour découvrir l’impact du changement climatique sur les océans.
La grande majorité des équipes d’encadrement qui sont recrutées à bord des croisières sont des scientifiques ou des naturalistes qui interviennent en tant que guides-conférenciers, qui partagent ainsi leurs connaissances fascinantes et leurs recherches importantes avec les passagers.
Chaque année et notamment en partie grâce à la contribution des passagers, la compagnie d’expédition reverse des dons à des organisations caritatives de conservation, comme le Fonds mondial pour la nature, BirdLife International, 4Ocean et Falklands Conservation.
Respect de la réglementation SOLAS et MARPOL (Marine Pollution Prevention) :
- Aucun déchet n’est rejeté à la mer ; les ordures ménagères ne sont pas brûlées dans un incinérateur mais conservées dans une chambre froide, avant d’être débarquées à terre, dans les infrastructures portuaires adéquates
- Les bateaux sont équipés de réservoirs spéciaux pour les eaux usées et les eaux noires, en attendant de pouvoir les débarquer dans des ports avec infrastructure suffisante aucun rejet liquide n’est effectué à proximité des côtes, notamment en Arctique et Antarctique ; aucune boue, vidange n’est effectuée en mer
- La peinture de coque avec durcisseur, possède une durée de vie plus longue et permet d’utiliser moins de peinture.
Le Hondius dispose d’un éclairage LED, d’un chauffage à la vapeur, d'une hélice à pas variable réduisant la consommation d’énergie, des moteurs Tier III qui réduisent les oxydes d’azote, réutilisent la chaleur résiduelle pour produire de l’eau douce, et bénéficie de systèmes de gestion de l’énergie flexibles qui maintiennent la consommation de carburant et les émissions de dioxyde de carbone à un faible niveau. Plus précisément, ces nouveaux moteurs ont réduit la consommation moyenne de carburant par passager de plus de 35 %.
Le Plancius et l’Ortelius disposent de deux nouveaux moteurs à faibles émissions, installés pour être conformes aux dernières législations environnementales. L'utilisation de gazole marin à faible teneur en soufre (LSMGO), inférieure à 0,1 %, fuel plus léger, réduit également la pollution par les gaz d’échappement.
Sur le voilier traditionnel, le Rembrandt Van Rijn, l'énergie éolienne est utilisée lorsque les conditions sont possibles.
Réduction et élimination des déchets
La compagnie limite la production de déchets à bord en recyclant aussi souvent que possible et en interdisant les plastiques à usage unique sur tous ses navires, et n’utilise pas de pailles, de gobelets en plastique ou de beurre, de yaourt et de confiture emballés individuellement, dans la mesure du possible.
Tous les navires sont équipés d’un système de traitement de l’eau et d’un système de dessalement qui utilise l’osmose inverse, ce qui permet d’éliminer l’utilisation d’eau en plastique embouteillée à bord. Au lieu de cela, les passagers reçoivent une gourde réutilisable qu’ils peuvent remplir sur le navire. Les salles de bains sont équipées de shampoing et de savon biodégradables dans des emballages recyclés, ce qui limite encore l’utilisation de plastiques. Tous les produits de nettoyage à bord sont constitués d’ingrédients d’origine naturelle et 100 % biodégradables.
La compagnie, en accord avec AECO, est membre actif de l’association Clean up Svalbard, qui milite pour le maintien en bon état de ces zones. A titre d’exemple, des opérations de nettoyage des plages sur lesquelles les équipes et passagers débarquent, sont régulièrement organisées. En août 2019, à bord du Hondius, l’équivalent de 1000 kilos de déchets ont été ramassés, dont une majorité de plastique provenant de l’industrie de la pêche.
Consommer plus local, consommer plus durable
Il s’agit souvent d’un défi dans les zones polaires éloignées, mais cela a conduit au développement de relations solides avec des fournisseurs fiables et durables au fil des ans :
-Achats dans la mesure du possible de denrées alimentaires produites localement, afin de réduire l’impact du transport tout en soutenant les communautés locales
-Poissons et fruits de mer servis au restaurant labellisés MSC (Marine Stewardship Council), programme de certification des produits de la mer favorisant des pratiques de pêche qui minimisent leur impact sur les écosystèmes marins
-Café servi sur les navires provenant de grains biologiques Fairtrade certifiés UTZ, cultivés de manière responsable et dans le respect des personnes et de l’environnement
Des objectifs communs et des valeurs partagées
Parmi les objectifs de durabilité, la compagnie s’efforce de réduire activement l’impact et les émissions de ses navires, d’investir dans de nouvelles technologies, plus vertes, et d’améliorer continuellement les ressources existantes.
Nous croyons profondément aux avantages à long terme de l’éducation et de la défense des droits polaires, et nous pensons qu’il n’y a pas de meilleure façon d’y parvenir que de vivre une expérience positive, immersive, combinant un maximum de débarquements à terre, d'observation de la faune et la flore locale et de conférences à bord. Nous cherchons à donner à nos clients un aperçu des phénomènes étonnants dont nous sommes témoins dans les régions polaires. Cela permet de s’assurer que nos passagers sont aussi informés qu’ils sont inspirés par ces étendues sauvages incomparables.
Notre objectif ultime est de créer et de contribuer communément à une industrie de l’expédition qui protège les régions polaires autant qu’elle révèle leur beauté transformatrice au monde, car si ces zones sont trop belles pour ne pas être partagées, elles sont aussi trop précieuses pour ne pas être protégées.
Nous absorbons 100% des émissions de CO2 générées par le transport aérien et terrestre de votre voyage. Au travers de nos projets de reforestation, nous contribuons chaque année à la captation de centaines de milliers de tonnes de gaz à effet de serre, équivalent à la totalité des émissions liées à nos voyages. Ces projets sont toujours porteurs d'un objectif de développement économique autonome pour les populations locales. Pour en savoir plus https://www.philipperomero-insolitebatisseur-foundation.org/
Nous avons toujours eu à cœur de développer un tourisme responsable. Depuis nos débuts, nous créons des voyages différents grâce à toutes les ressources de la terre, mais avec le devoir d'en assurer la pérennité pour les générations futures. Eau et énergie, rémunération et prévoyance, il y a tant à faire durant nos voyages ! Ainsi, nous œuvrons pour systématiser l'utilisation de ressources durables et pour limiter les impacts sociaux et environnementaux de notre activité.
Retrouvez nos guides de voyage sur notre site de la librairie polaire
Jean-Louis Etienne,
Antarctica. Une aventure dans les mers australes. Paris, 1992, Ed. Gallimard.
Michel Fehrenbach,
Aurores boréales et australes, GNGL Productions, 2001.
Marie Foucard,
Guides Grand Nord : Terres australes, Paris, 2011, GNGL Production, 2011.
Voyage au pays des manchots, Biarritz, 2001, Ed. Atlantica.
Peter Harrison,
Oiseaux de mer, guide d’identification, Ed. Broquet, Canada, Ottawa, 1995.
Pierre Jouventin,
Les confessions d’un primate, les coulisses d’une recherche sur le comportement animal, Paris, 2001, Ed. Belin, Pour la science.
Sally Poncet et Kim Crosbie,
A visitor’s Guide To South Georgia, 2005, WildGuides LTD.
Rémy Marion,
Guide des manchots, Paris, 1995, Ed. Delachaux et Niestlé.
années
de voyages polaires
390 voyages
dans les pôles
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de satisfaction
client
Tous nos voyages sont
100% carbone absorbé